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Avortement : la réponse de Mgr de Germay

Commentaires (8)
  1. Gilberte dit :

    “mon corps, mon choix, mon droit”, mais si la Sécurité Sociale cessait de rembourser les avortements, les frais d’hôpital auraient vite fait d’orienter les choix autrement, même si certains craignent le développement d’avortement clandestins (qui ne seraient plus clandestins puisque dépénalisés)

  2. toto dit :

    Bien, bien , bien
    Que nos évêques se posent la question d’en faire plus pour soutenir les associations qui aident les futures mères à garder leur bébés et qui ont les pires difficultés pour trouver et financer des locaux d’accueil (locaux d’accueil que Simone Veil avait promis de mettre en place dans sa loi criminelle: RIEN n’a été fait en ce sens). Certains diocèses font un effort, d’autres pas du tout.
    Avant d’accueillir à tout bout de chants les malheureux de la Planète, il faudrait se poser la question de savoir si nous en faisons assez pour les exclus des exclus, les victimes parmi les victimes que sont les 225 000 bébés à naître massacrés chaque année dans la douce France.
    Un pays incapable d’accueillir ses enfants à naître est incapable d’accueillir qui que ce soit d’autre.

  3. garmon dit :

    Excellent, Monseigneur : vous remontez à la racine du mal.

    Dieu vous bénisse.

    Garmon

  4. C.B. dit :

    “IVG: mon corps, mon choix, mon droit”.
    TOUT À FAIT D’ACCORD.
    Donc, avant toute IVG, prouver que les cellules à enlever sont bien un morceau du corps.
    Facile: comparer leur patrimoine génétique avec celui des cellules qu’on garde (doigt, nez, …)
    PATATRAS: pas de chance: le patrimoine génétique n’est pas le même (eh oui, le père y a laissé une partie de lui-même).
    Donc ce n’est plus MON CORPS, par conséquent, le reste du slogan tombe à l’eau, on est face à un assassinat (homicide volontaire avec préméditation).
    Le logo fait penser à la sculpture “l’enfant qui n’est pas né” réalisée par Martin Hudáčeka, un jeune artiste slovaque, et inaugurée en Slovaquie en octobre 2011
    http://gaelle.hautetfort.com/archive/2015/04/20/l-enfant-qui-n-est-pas-ne-et-sa-mere-the-child-who-wass-nev-5607323.html
    http://www.mesgrumeauxetmoi.fr/archives/2014/01/03/28841573.html

    1. Gaëlle Mann dit :

      Merci à C.B. de rappeler la très belle et bouleversante sculpture “L’enfant qui n’est pas né”, que j’avais publiée sur mon blog. Je considère l’avortement comme un crime. depuis toujours. C’est tuer SON enfant, on a une autre petite vie humaine dans son ventre, qui remue, qui “danse” à partir de 4 mois de grossesse. Je ne peux pas comprendre.

      1. toto dit :

        Moi non plus je ne peux pas comprendre. Et encore moins la dernière folie inventée par des pasteur(e)s méthodistes et épiscopaliennes (les anglicans USA) d’aller bénir les avortoirs et déclarer que Dieu est favorable à l’avortement. Et de proposer des tournées de “bénédiction” dans tous le pays pour contrer les “méchants” partisans du droit de naître.
        reinformation.tv/benediction-clinique-avortement-pasteurs-cleveland-ohio/
        Obama déjà l’année dernière avait dit que Dieu bénissait le Planning

  5. Courivaud dit :

    On aurait aimé une sainte colère d’un évêque, crosse à l’appui (mieux que ces horribles bâtons de berger “post-conciliaires”), pas simplement parce qu’il est évêque, mais parce qu’il est baptisé et qu’il respecte un commandement de Dieu, “tu ne tueras pas”.

    Que propose-t-il de CONCRET à présent pour “riposter” comme vous le dites en titre de votre revue ?

  6. Jean-Christophe dit :

    Une dame âgée racontant à l’occasion d’une conversation sur le dernier livre de Saint Jean Paul II avant sa mort parle de son avortement à dernière fille âgée de 50 ans et plus qui a eu lieu quand la dame avait 35 ans car elle attendait le quatrième enfant.
    Réponse de mon amie, sa fille,
    Dommage nous aurions été quatre ….
    Oui le bébé n’est pas le corps de la mère
    Mais le déni de bon sens est à l’oeuvre chez les grands de ce monde !!!