Perepiscopus

Face au sentiment d’une complexité de plus en plus dure à maîtriser

Commentaires (8)
  1. fg dit :

    Pour la diarrhée, il y a Lactéol.
    Pour la logorrhée, il y a les Evangiles, à lire matin, midi et soir.

  2. Arome dit :

    C’est le retour du “sentiment d’insécurité” de Jospin !

    En français: “parents, ne vous laissez pas désarçonner par le réel, nous allons vous rééduquer”

    Bon, qui se dévoue pour expliquer le concept de réalité objective (pléonasme) au franc-mac de service ?

  3. Le Précurseur dit :

    Message bizarre où il est bien difficile de discerner ce que l’auteur cherche à nous dire, ma foi !

  4. de Lapomarede dit :

    en provençal on aurait dit :”a ben parla ma,qu’a dit?” ou,en français,:ce qui se conçoit bien s’ennonce clairement et les mots pour le dire etc

  5. A. F. dit :

    Pour une fois, cette lettre a plutôt l’air normale !?
    Qu’y-a-t-il de critiquable ?

    1. MPSalinas dit :

      Mettre sur le même plan la théologie et la sociologie….

  6. Jean-Luc Gardair dit :

    Comme Le Précurseur j’avoue que moi aussi j’ai bien du mal à discerner ce que l’auteur cherche à nous dire…

  7. Arome dit :

    Chers amis,

    traduit du jargon, on croit discerner ceci :

    Le monde nous semble complexe voire inquiétant, et nous ne savons plus que penser. Pour restaurer un optimisme de bon aloi, venez écouter nos spécialistes en théologie, philosophie, sociologie, économie… Ils vous aideront à vous forger librement une opinion pleinement orthodoxe.

    2 critiques :
    – la forme non traduite est illisible, insulte aux professeurs qui ont cru éduquer le jeune Pascal
    – le fond est un propos orwellien de la meilleure eau : ne paniquez pas, nos spécialistes vous expliqueront que les invasions Viking (pardon : des migrants exclus anticapitalistes du Nord) étaient autrement plus dures, et qu’il convient donc de relativiser ce que vous croyez voir.

    J’ai cité ici la “crise” des migrants, mais le propos de M. Balmain, dans sa citation courte, peut vous permettre de retrouver le bonheur face à l’insécurité, au chômage, à la drogue, au satanisme, à l’apostasie, à la destruction de l’école… Aucun malheur ne saurait lui résister.

    On se rappelera la chanson :
    Buvons buvons buvons le sirop Tryphon Tryphon Tryhon, l’universelle panacée (é-ée)
    A la cuillère, ou bien dans un verre, rien ne saura lui résister

    Pour les lecteurs du SalonBeige : c’est du padamalgam en application locale.

    Bien à vous,