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La France catholique face à l’islam

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Mgr Ravel aux Antilles
Commentaires (16)
  1. Marc_T dit :

    Je voulais partager sur FB, j’ai lu, je ne partage pas .

  2. Denis Merlin dit :

    Au fond, il s’agit de légitimer des comportements illégitimes qui bafouent l’ordre public. Il est incroyable qu’un évêque puisse faire de la publicité pour ce genre de texte relativiste et, tout bien réfléchi, sans intérêt.

    Ne faisons pas semblant d’ignorer le Compendium de doctrine sociale. Réfléchissons à la signification du mot “laïc”, mot d’origine juive et chrétienne (Samuel et David).

    Le Compendium apporte des réponses éclairantes et fermes sur l’organisation sociale.

    http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/justpeace/documents/rc_pc_justpeace_doc_20060526_compendio-dott-soc_fr.html

    En outre, le respect de l’identité française de l’ordre public français n’est pas facultatif pour les Français dont Mgr Wintzer fait partie.

  3. A Z dit :

    Bonjour,

    A. Intéressons-nous, interrogeons-nous, également, en présence de la question suivante : quelle est la vraie nature de l’islam ? S’agit-il plutôt d’une religion séculière, comportant en son sein plutôt une tendance à la volonté de puissance temporelle, ou s’agit-il plutôt d’une tradition sapientielle, comportant en son sein plutôt une tendance à la volonté de sagesse spirituelle ? Si ces tendances coexistent, cohabitent, dans l’islam, quelles sont, le plus souvent, dans l’espace et dans l’histoire, la tendance “dominante”, et la tendance “récessive” ? Et que pensent les musulmans eux-mêmes sur la présence de ces tendances, ou sur les relations entre ces tendances, à l’intérieur de la doctrine et de l’histoire de leur propre religion ?

    B. Par ailleurs, se pose aussi la question de savoir ce que pensent les ex-musulmans de l’islam, que ces ex-musulmans se soient convertis au christianisme ou non ; il arrive en effet que ce soit eux qui parlent le mieux de l’islam, dans la mesure où ils le connaissent et le comprennent de l’intérieur, tout en appréciant ses mérites et ses limites d’une manière critique, rendue possible par la prise de distance, par l’acquisition d’un point de vue situé à l’extérieur. Interrogeons-nous sur les constatations et les explications, sur les prises de conscience et les remises en cause de ceux qui, en prenant “parfois” des risques considérables, ont fini par se déprendre de cette religion, ce qui est bien plus dangereux que de se déprendre du christianisme.

    C. Aujourd’hui, il existe un principe général de désorientation des consciences ; certains, partisans d’une anthropologie et d’une civilisation d’origine occidentale et d’inspiration plutôt permissive, se trompent et nous trompent sur le vrai sens de l’autonomie de l’homme, mais ils ne sont pas les seuls à se tromper et à nous tromper, car d’autres, promoteurs d’une anthropologie et d’une civilisation d’origine orientale et d’inspiration plutôt répressive, se trompent et nous trompent sur le vrai sens de l’autorité de Dieu.

    D. Il ne tient qu’à nous, d’abord, de préciser ou de rappeler que la vocation de l’être humain ne consiste ni à s’adonner à l’égolâtrie, ni à se soumettre à la théocratie ; il ne tient qu’à nous, ensuite, de préciser et de rappeler qu’il existe, en Jésus-Christ, un cheminement, une dynamique, propices à la meilleure articulation entre l’autonomie de l’homme et l’autorité de Dieu, entre charité et vérité, entre dignité et liberté, entre liberté responsable et vérité objective, avant tout dans l’ordre du croire personnel, et non avant tout dans celui de l’agir collectif ; il ne tient qu’à nous, enfin, de préciser ou de rappeler que c’est en Jésus-Christ qu’existe la meilleure articulation entre intégration et libération, entre intégration au collectif et libération personnelle.

    E. Quelques mots s’imposent sur la notion d’intégration : pouvons-nous reprocher à qui que ce soit d’avoir du mal à s’intégrer, de ne pas être capable, de ne pas être désireux, de s’intégrer, à une civilisation qui, au moins depuis 1975, est en train de s’autodétruire, à grands renforts de confusions, libératoires, et non libératrices, entre humanisme et hédonisme, entre liberté et libertarisme, entre égalité et égalitarisme, entre fraternité et fraternitarisme ? Quel idéal, éclairant, mais aussi exigeant, avant tout édificateur, et non faussement émancipateur, prescrivons-nous ou proposons-nous, d’une manière générale, aux jeunes générations, dans le monde occidental, depuis 1975, voire depuis 1945 ? N’avons-nous pas à mettre en œuvre un examen de conscience collectif sur ce que nous ne recevons plus, sur ce que nous ne transmettons plus, dans le domaine de la culture, au sens large, aux générations successives ?

    F. Quelques mots s’imposent aussi sur la notion de libération : il se trouve que, depuis l’intérieur de l’Eglise catholique, nous subissons, là aussi, au moins depuis 1945, l’ambiguïté et l’aveuglement volontaires de bien des clercs, d’abord, entre 1945 et 1989, sur l’atlantisme et le communisme, ensuite, depuis 1979, sur l’atlantisme et l’islamisme, et il se trouve aussi que les mêmes clercs ont le plus souvent plutôt tendance à nous parler davantage de la liberté à laquelle aspire l’homme que de la vérité inspirée par le seul vrai Dieu.

    G. Eh bien, je pose la question : en quoi cette ambigüité et cet aveuglement volontaires de bien des clercs, sur bien des “signes des temps”, sont-ils libérateurs, libérateurs, en particulier, pour l’intelligence des catholiques ? En quoi cette ambigüité et cet aveuglement volontaires, mais je pourrais aussi bien parler d’angélisme, d’irénisme, d’utopisme, sont-ils vraiment inspirés par l’Ecriture, la Tradition, le Magistère, mais aussi par la connaissance et la compréhension des aspirations, évolutions, motivations, situations, culturelles, sociales, historiques ? En quoi sommes-nous libres de parler publiquement, au sein même de l’Eglise catholique, de cette ambigüité et de cet aveuglement volontaires, et de leurs conséquences délétères ?

    H. Cette ambigüité et cet aveuglement volontaires, hier “con-ci-li-ai-res”, aujourd’hui “é-van-gé-li-ques”, font bien plus partie du problème que de la solution, mais les théologiens et les évêques concernés auront-ils le courage et la franchise de se libérer et de nous libérer de ce qui est faussement libérateur, alors que la distribution gratuite et le port obligatoire de lunettes roses constituent un asservissement pour, ou plutôt contre, l’intelligence des catholiques, et empêchent de nommer enfin, un peu, vraiment, les choses ?

    Bonne journée.

    A Z

  4. Denis Merlin dit :

    La prétendue “défaite” de 1940 est en réalité le résultat de la trahison du gouvernement britannique qui n’a engagé que 10 % des forces alliés en présence et plus tard a refusé l’usage de son aviation.

    « La BEF [British expiditionary force] était commandée par le général Lord Gort. Cette force ne constituait qu’un dixième des forces alliées en face des forces allemandes sur le front allant du Rhin à l’Atlantique, »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Corps_exp%C3%A9ditionnaire_britannique

    Je ne mésestime en rien le sacrifice des pauvres soldats britanniques, mais leur gouvernement a trahi la France en 1940.

    Ce seul fait explique la “défaite” de la France qui est d’ailleurs aussi celle de l’empire britannique.

    Cette littérature anti-France ressort constamment ces hoax odieux. Le style sentencieux ne peut dissimuler la vacuité de la substance.

  5. coco dit :

    Je ne comprends même pas comment on peut publier un torchon pareil!
    Encore et toujours la vielle complainte des méchants catholiques français de souche, racistes et persécuteurs de pauvres musulmans maltraités…..

    L’église catholique en la personne de ces évêques et le premier fossoyeur de la France.
    Messieurs les curés, si vous aimez autant l’islam, il y a 57 pays qui ont fait de la charia leur système politique, alors allez donc y vivre, et nous, nous prendrons à votre place de vrais curés issus de la communauté St Martin afin d’avoir des messes et une liturgie digne de ce nom.

    J’en ai ras-le-bol de votre incompétence et de votre manque de charité chrétienne à l’endroit du troupeau dont vous avez la charge.

    A bon entendeur…..

  6. Bourgeois dit :

    Sauf à suivre Jésus et à ouvrir les yeux comme il nous en intime l’ordre, nous tomberons tous dans le piège tendu avec grand art.
    Pour percevoir ce piège lire :
    https://asasuite.wordpress.com/2015/03/31/si-on-se-decidait-a-ouvrir-les-yeux/#_Toc415518828

  7. Gauvin dit :

    « Si l’Islam est présent aujourd’hui en nos pays,
    c’est en premier lieu à cause de l’Eglise qui a eu honte de son message de Jésus-Christ, unique Sauveur! »
    – M. l’abbé de La Roque –

    http://www.medias-presse.info/m-labbe-de-la-roque-si-lislam-est-present-aujourdhui-en-nos-pays-cest-en-premier-lieu-a-cause-de-leglise-qui-a-eu-honte-de-son-message-de-jesus-christ-unique-sauveur/38312

  8. Denis Merlin dit :

    L’ordre public catholique français est possible. Il est obligatoire pour tout catholique français de le prôner. Tout homme doit le respecter en France. L’ordre public universel doit être respecté par tous les hommes.

    La “sociologie” “science” fort contestable, voire absurde (un sociologue décrit “objectivement” une société dont il partage les valeurs subjectives et au moyen de ces valeurs), n’a aucune valeur normative. Le droit universel a une valeur normative. Il est fondé sur les valeurs de vérité et de justice. Le droit français institue un ordre public français qui n’est facultatif pour aucun Français. Cet ordre public français, c’est liberté, égalité, fraternité (il est donc affirmation de la foi chrétienne, car la fraternité est de foi et non conclusion de la raison). L’ordre public français est catholique, c’est notre liberté.

    Revendiquons à la face des évêques l’ordre public catholique français. C’est notre liberté. C’est notre droit. Les évêques n’ont aucune qualité pour nous l’interdire.

    Vive la France libre en face du haut clergé partial ! Liberté, égalité, fraternité !

  9. Mario dit :

    La défaite de la France en 1940 – n`a rien a voir avec les britanniques. C`est la désorganisation générale du haut commandement Français, la faiblesse et lâcheté des hommes politiques Français de l`époque. Une décomposition nationale que l`on revoit encore actuellement.

    Tant que la France continuera de trahir son pacte avec le Christ – Pacte de Clovis et de St-Rémi – France fille ainée de l`Église chargée de la protection, de l`enseignement militant et de l`expansion de la foi catholique – et non pas de sa destruction par la trahison de 1789 – la France risque fort de continuer a payer une facture lourde.

    1. Denis Merlin dit :

      Votre commentaire est un résumé de la thèse traditionaliste. Pourtant la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 fut en partie rédigée par un thomiste et la devise “liberté, égalité, fraternité” confesse implicitement le Christ (“fraternité” est un donnée de la foi chrétienne et non de la raison). Donc ce n’est pas dans la condamnation sans réserve de la Révolution de 1789 qu’il faut chercher la solution, mais dans la liberté de confesser le Christ, y compris au niveau politique. Cette liberté est impliquée par la devise républicaine. Je précise que je n’ai pas de sympathie pour les révolutionnaires et leurs folies dévastatrices. Mais je reconnais que certaines réformes étaient valables, voire nécessaires (Taine prétend qu’elle auraient été mises en œuvre par la monarchie si on lui en avait laissé le temps).

      Ce que j’écris est largement tributaire des enseignements du Compendium de doctrine sociale, de saint Jean-Paul II, de Benoît XVI et du cardinal Bertone ainsi que de mes lectures historiques.

      Quant à la défaite de 1940, j’ai démontré, citation de wikipedia à l’appui, par des faits qu’elle est due à ce que j’analyse comme une déloyauté du gouvernement britannique de l’époque. Le corps expéditionnaire britannique ne formait que 10 % du dispositif militaire allié alors que la guerre fut déclarée ensemble avec les Britanniques qui formaient une nation de force démographique et militaire analogue à celui de la France. D’autre part, Churchill refusa le concours de l’aviation britannique. Je répète que disant cela je ne mésestime en rien les sacrifices immenses des soldats britanniques présents sur le sol français à l’époque. Je les en remercie au contraire et je salue leurs mémoires.

      Se battre à un contre deux, le résultat est prévisible. Il n’y avait donc aucune désorganisation ou autre faute française. Il y avait des forces alliées très inférieures en nombre par rapport à ce que la France pouvait raisonnablement espérer au moment de la déclaration de guerre en 1939. La France n’a pas failli en 1940.

      Vive le Christ qui est roi de France et du monde !

  10. Bourgeois dit :

    Excusez-moi ; le dois prendre le risque d’être désobligeant envers vous.
    Prendre la république et sa devise franc-maçonne à la rescousse contre l’attitude de l’Église face à l’islam est le signe d’une totale incohérence.
    Je vous invite à nouveau à lire ce texte :
    https://asasuite.wordpress.com/2015/03/31/si-on-se-decidait-a-ouvrir-les-yeux/#_Toc415518828
    Et, si vous le voulez, nous confronterons nos visions divergentes.
    Il est grand temps que les ténèbres cèdent le pas à la lumière. Non pas celle des philosophes dits « des Lumières » ; mais celle de Jésus, qui ne passera jamais.

    1. Denis Merlin dit :

      Le devise n’est pas franc-maçonne. La devise est malicieusement arborée par la maçonnerie pour empêcher les défenseurs de l’ordre public français de l’invoquer. Suprême ruse diabolique, exactement comme lorsque la maçonnerie invoque la “laïcité” pour pouvoir combattre la liberté d’être catholique. L'”enchantement” maçonnique consiste probablement à utiliser des termes valables pour les faire servir à la tyrannie. Dans la bouche d’un chef maçon, tel le “soleil noir” maçonnique, il faut traduire: esclavage, passe-droit et haine. La maçonnerie occupe ainsi le terrain de la vérité pour la faire servir au mensonge et à la haine. Subtil ! Comme le diable, leur maître, est subtil.

      Lisez-donc les discours de Benoît XVI lors de son voyage en France, lisez aussi le Compendium, lisez le cardinal Bertone sur la laïcité. Vous comprendrez.

      1. Bourgeois dit :

        Vous ne semblez pas sot; vous comprendrez donc ce que je vais vous dire :
        1) Dire que cette devise est franc-maçonne n’implique pas qu’elle ait son origine dans la franc-maçonnerie.
        Peu importe l’origine précise de cette devise. Ce qui compte c’est de voir qu’elle est commune à la république et à la FM. Elle est donc républicaine et franc-maçonne. Elle est donc franc-maçonne. Je n’ai rien dit d’autre. Je suis d’accord avec vous « Subtil ! Comme le diable, leur maître, est subtil ». Il l’est tellement qu’il a réussi à vous emberlificoter sur ce point
        2) La laïcité découle de la loi de 1905. Dite de “séparation de l’Église et de l’Etat”.
        Cette loi s’est appuyée sur la malencontreuse initiative de Léon XIII inspirée par son secrétaire d’état Rampolla, (FM du 33 ième degré). Léon XIII, grand pourfendeur de la franc-maçonnerie a livré le peuple français à la franc-maçonnerie en lui intimant l’ordre de se rallier à la république (encyclique Inter Sollicitudines du 16/2/1892).
        Depuis lors, les conceptions vaticanes sont polluées par l’esprit maçon. Pie X, élu en 1903, a essayé de réagir en condamnant le modernisme. Celui-ci a plié ; mais s’est redressé avec les successeurs de Pie X, contre leur gré jusqu’à Pie XII et avec leur approbation depuis Jean XXIII et le Concile Vatican II. Un peu à la fois s’est imposée la nécessité de l’alignement de l’Église sur les lois républicaines, au nom du « bien vivre ensemble » La CEF en est la plus parfaite illustration. Benoit XVI n’a pas échappé à la règle.
        Pourriez-vous préciser ce que je n’aurais pas compris ?
        Quand vous dites « Revendiquons à la face des évêques l’ordre public catholique français. C’est notre liberté. C’est notre droit. Les évêques n’ont aucune qualité pour nous l’interdire ».
        Je ne sais où vous avez pêché cet « ordre public catholique français » ; mais il ne correspond à rien qu’une illusion à laquelle vous avez décidé d’adhérer. Permettez que nous en voyions la stupidité et que nous nous en gardions comme de la peste : Pour justifier ces paroles, a priori sévères, je vous livre ce que m’inspire cette devise :

        La Trinité et la Franc-Maçonnerie
        Dieu est d’abord Père
        Le Fils est le retour de Dieu (Père) sur lui-même.
        Il est l’expression du Père, le Verbe de Dieu. Il est la conséquence, le résultat de la réalité, de l’essence de Dieu. Il est celui qui établit Dieu comme Père. Il est aussi celui pour qui tout est fait, il est la motivation de Dieu, son moteur.
        L’Esprit Saint est le lien entre le Père et le Fils, l’Esprit du Fils, la Vérité en elle-même, le témoin entre le Père et le Fils et l’élan de l’un vers l’autre.
        – Le Père créateur donne la Liberté (Créer, c’est distinguer en lui des formes dont certaines sont libres)
        – Le Fils assure la Justice (Il justifie la création)
        – L’Esprit garantit la Vérité (Il rend témoignage et fait partager, il insuffle)
        Le Tout s’unifie dans l’Amour.
        Dieu Trinité est Amour parce qu’il tient ensemble les trois Vertus qui seulement alors s’équilibrent et se complètent : Liberté, Egalité, Fraternité.
        Que donne chacune des vertus de Dieu si elle est dissociée des autres
        – La Liberté considérée séparément, engendre le libéralisme et la permissivité.
        – L’Egalité considérée séparément, engendre l’égalitarisme et la lutte des classes.
        – La Fraternité considérée séparément, engendre le favoritisme, le communautarisme et l’exclusion.
        La vertu sans l’amour est l’inverse de l’amour
        Les trois vertus sans Dieu (l’amour unificateur) engendrent la négation de l’amour et de Dieu : L’athéisme, l’hommisme, le communisme. C’est le totalitarisme de la volonté de bonheur sans sa source, c’est l’enfer.
        La Franc-Maçonnerie est l’incarnation (Le corps mystique) de Satan, l’Anti-Christ, l’expression du Singe de Dieu.
        Liberté, égalité et fraternité y sont des revendications de l’homme vis-à-vis de Dieu. Elles sont la base de l’émancipation franc-maçonnique et républicaine. Même la fraternité sans Dieu est revendiquée. C’est la paradigme franc-maçon : Nul n’est besoin de Dieu pour aimer, (au contraire).

        Resterez-vous sourd, en plus d’être aveugle ?
        Croyez-moi, le ralliement a été la pire des choses pour la France et l’Eglise. Souhaitez-vous le mener au bout ?

        1. Denis Merlin dit :

          Notre discussion risque de sortir des objectifs de ce blog. Toutefois, je me permets de vous préciser en conclusion que les critiques traditionalistes contre le ralliement ne sont pas valables. Le ralliement est une obligation morale. Lutter contre la législation relativiste en est une autre. Je suis donc à équidistance des deux bords. Vive le Christ qui est roi de France !

  11. Denis Merlin dit :

    J’ajoute pour en terminer (car ces considérations sont hors sujet par rapport aux élucubrations de monsieur Manent et finalement le servent), que les francs-maçons délirent comme ils veulent. Cela ne m’intéresse pas. Ce qui m’intéresse, c’est le sens commun qu’ont les mots.

    1. Bourgeois dit :

      J’aimerais bien pouvoir me désintéresser de la question; mais ce sont eux qui mènent le monde (donc nous) vers la soumission à Satan. C’est le même but que l’islam.
      Il faut débarrasser le monde de ces deux fléaux. Nous ne pourrons y parvenir que si nous en voyons l’importance et la nécessité impérieuse de supplier notre Roi de prendre les choses en main.
      Je répète : Il est grand temps d’ouvrir grands les yeux pour arrêter de se laisser berner et essayer d’inverser le sens de l’histoire. La fin programmée par les élites franc-maçonnes est à éviter à tout prix et nous n’avons qu’un défenseur, Dieu.
      Pour ce qui est du sens commun des mots, il nous transforme en moutons bêlant à l’unisson. On appelle cela la pensée unique qui ne représente plus rien qu’un abandon de souveraineté et de liberté tels que Dieu les a conçus pour nous.