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L’avortement est un crime qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer

Commentaires (7)
  1. giannetto di camporella dit :

    OUI je vous soutiendrai dans votre démarche l’homme créature de DIEU……. de quel droit peut il faire cela…! Sauf pour des cas bien précis et ciblés et avec la demande de l’ l’homme en question…aprés une grande réfléxion en colégiale avec lui.
    Bonne journée dans la joie et la paix

  2. Shimon dit :

    L’avortement est un meurtre
    avec préméditation,
    l’euthanasie est un meurtre
    avec préméditation.
    Il n’y a jamais de droit au meurtre.

    L’accord de celui sur la tête de qui a été mis un contrat
    ne change pas la nature de l’acte.
    Un meurtre reste un meurtre.

  3. Shimon dit :

    Giannetto,
    notre vie ne nous appartient pas,
    elle appartient au créateur.
    Nous en sommes les gérants ou les intendants.
    Le fils peut-il dilapider le bien du Père?

  4. roussel dit :

    A quoi sert de nous tartiner des “Diaconia” fraternité à toutes les sauces, ou des “Semaines sociales” idéologie PS-cfdt, lorsque sur des sujets de cette gravité, seuls 20 évêques sur 135 ont le courage et la cohérence de soutenir cette marche . ? Lorsque l’on passe d’un avortement légalement toléré “pour des cas de détresse”, à un avortement droit sacré de la mère de tuer son enfant, avec le mensonge d’une soi disant liberté de disposer de son cors, ce gouvernement poursuit dans ses fermes intentions de ruiner la famille, et de déchristianiser la société. A cela devrait répondre la mobilisation des catholiques, et même des chrétiens et d’autres religions .
    Mais pour beaucoup malheureusement, la foi est secondaire au regard de la “réconciliation” avec le Monde.

  5. Françoise dit :

    Concrètement la lutte contre l’avortement passe aussi par des mesures sociétales et étatiques donnant aux femmes le désir de garder et aimer leur enfant. La lutte contre ce fléau passe moins par la “répression” que par la perspective d’un avenir viable pour l’enfant : conseils psychologiques – chrétiens, assistance matérielle, lutte contre la solitude par la création de.groupes de mères, voire pères en difficulté.
    Il y a aussi à combattre le fléau de l’INFANTICIDE ou avortement différé. Enfants battus à mort, affamés, noyés … les services sociaux devraient cesser de retirer et placer de force leurs enfants à des parents qui les aiment et de fermer les yeux devant les signes de maltraitance qui peuvent conduire à l’assassinat de ceux qui sont déjà nés. Il ne suffit pas de naître, il faut vivre !

  6. Françoise Authosserre dit :

    Dans la pratique, il ne suffit pas de condamner l’avortement et d’affirmer le droit à la vie de l’enfant à naître. La lutte contre le fléau de l’avortement se situe moins au niveau de la “répression” que par des mesures concrètes prises par la société et le gouvernement au plus haut sommet de l’Etat afin de donner aux femmes le désir de garder leur enfant : la mise en place d’une aide matérielle, d’un conseil psychologique et pourquoi pas, chrétien. En France il y a non seulement un nombre élevé d’avortements (220.000 par an !!) mais aussi des cas répétés d’INFANTICIDES commis par des mères en détresse et non soutenues par la société, leur famille, leur compagnon ou mari. Bébés noyés, empoisonnés, tués à l’arme blanche, battus à mort. Il ne suffit pas de les laisser naître, il faut un suivi !!! Ne pas, comme Ponce Pilate, sa laver les mains du sort du bébé innocent une foi né. Je ne crois pas avoir lu beaucoup d’études et de recommandations de l’Eglise sur ce sujet très grave. Une lacune, sans doute.

  7. Melmiesse dit :

    Pour qui a-t-on aboli la peine de mort en 1981? les catégories de personnes qui ne peuvent bénéficier de cette loi augmentent tous les jours: l’enfant à naître, le vieillard, le grand malade, le trop infirme, le trop fou, le comateux et qui demain?