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Le diocèse de Dijon baisse l’âge de réception de la confirmation

Commentaires (8)
  1. Réjouissant. Voila qui fait un heureux pendant a d’autres pour lesquels la Sainte religion “n’a pas l’apanage de la vérité”. Oui. La confirmation précède la communion qui elle devait se faire a l’age de raison, et non a la puberté ou nombreux ont déjà perdu leur innocence. Qu’il n’y ait pas de moment limite pour approcher son Dieu n’a rien a y voir. Il s’agissait ici aussi d’aligner le catholicisme sur des spiritualités sans Notre Seigneur Jésus-Christ.

    Daigner accepter mes félicitations a votre Excellence.
    Avec ma soumission apostolique,

    PS/ Ceux qui faisaient le signe de Croix -les Argentins- ont gagné. Grace soient rendue a Notre Dame d’Altagrace. L’Argentine en particulier, et la chrétienté en général avaient besoin de cette consolation

  2. Miche Danis dit :

    nous etions confirmes au lendemain de la communion solenelle a la fin de Cm2 à 11 ans annees 40/50. je peux dire qu on etait bien armes pour entrer en 6 eme. c est revoltant qu on donne le choix aux enfants : bapteme ou non. confirmation ou non. on mange et boit tous les jours. on a besoin encore plus des sacrement. vatican II a tout fait partir a veau l eau

  3. raoul dit :

    Bonjour! ici sur l’ île de La Réunion les enfants sont confirmés quand ils sont en classe de 6 ième, et où est l’âge de raison pour des enfants en CM1 ou CM2 , même en 6ième .Déjà au niveau du catéchisme moderne peu de parents y participent pour soutenir la foi de leurs enfants et là décider à leur demander de confirmer leur foi c’est un enjeu un peu difficile surtout si des parents sont catholiques que de mot, ou des parents plus soucieux de leur vie mondaine que de leur vie spirituelle et qui veulent faire comme les autres ou comme le veut grand mère ou grand père.Celui qui est assidu à la vie de l’église, surtout en France Métropolitaine où le nombre de catholiques diminuent de jour en jour, où des soi disant catholiques ont HONTE de leur foi et de leur appartenance à l’Eglise, je vois mal cette idée de confirmation pour les jeunes enfants qui ne pensent qu’à jouer à autres choses, qui ne viennent même pas à la messe du dimanche qui trouvent toujours une excuse pour ne pas y aller, des parents qui s’en foutent un peu beaucoup .

  4. Gilberte dit :

    Etre marqué du sceau de l’Esprit Saint est indispensable pour confesser la foi en Jésus Christ comme cela fut indispensable aux apôtres plus tôt sera le mieux. Mais si moins de cinq pour cent des jeunes se font confirmer, la catéchèse reçue est aussi à revoir, à la fin du collège on n’avait pas, il y a 50 ans, l’âge de s’absenter de l’Eglise

  5. Née en octobre 1938 je fus confirmée le 2 juin 1945 et j’ai fait ma 1ère communion le même jour.
    J’ai toujours conservé un souvenir émouvant de cette journée qui m’a profondément marquée malgré mon jeune âge…je me souviens de ma préparation et du prêtre qui m’a préparée, je me souviens de l’Evêque, je me souviens de ma joie immense jointe à un vrai recueillement.
    Ma communion solennelle (ou plus exactement la rénovation solennelle des promesses de mon baptême) eu lieu le 25 mai 1950.

    Je trouve que la pratique religieuse et la formation religieuse des enfants gagneraient à retrouver cet échelonnement des sacrements

  6. Kanjo dit :

    j’ai envie de déménager pour aller à Dijon.
    Ici, je n’ai pas pu mettre mon fils au catéchisme, il est trop jeune. Faut attendre le ce2.
    De coup je lui fait moi même, avec un livre du début du siècle dernier. ça lui plait en général, même si parfois il ronchonne un peu et il comprend. Alors pourquoi attendre ?

  7. Pierre dit :

    On oublie la préparation sérieuse qui doit précéder la réception des sacrements et particulièrement ici, de la confirmation.
    Le niveau de spiritualité des enfants est faible en général: ainsi que celui des parents et de la société surtout. On fait donc, au juger, les choses tout à fait extérieurement, sans penser qu’il y va d’un chemin difficile, où il faut prendre des forces POUR NE PAS RATER SON SALUT.
    La belle homélie du prêtre dimanche était malheureusement pleine de non-dits. S’il avait dit en plus de “Cette démarche est importante” (là les enfants n’ont pas appris pourquoi) il aurait dû insister à la manière du curé d’Ars, pour se sauver, ne pas aller en enfer en travaillant d’arrache-pied, quotidiennement à sa propre sanctification, à se relever chaque jour de ses chutes inéluctables dans un tel monde plus perverti que jamais. L’enfant se retrouve SEUL en collège, en famille, en paroisse même et personne ne lui enseigne plus les 10 commandements, la formulation de prières du chapelet in-con-tour-na-ble. Mes élèves à 7 ans, devaient réciter deux “Je vous salue Marie chaque jour!” S’ils y étaient fidèles, ils montaient, montaient… s’ils les omettaient, ils descendaient…. Combien n’ont pas prié avec leurs enfants !
    Ce que nos évêques doivent dire, ce n’est pas recevoir les sacrements à tel ou tel âge seulement. Il faut s’y préparer par une vraie catéchèse et la connaissance de la religion. Pauvre évêques qui ont interdit le catéchisme question-réponses, celui du concile de Trente! C’est T E R R I B L E cela… Cherchez le livre de Marc DEM : “Evêques français, qu’avez-vous fait du catéchisme?” et vous comprendrez mieux le pourquoi de l’apostasie générale actuelle.