Perepiscopus

Le Père de Monteynard en soins palliatifs

Commentaires (10)
  1. hermeneias dit :

    Le père de Monteynard a beaucoup donné et a été un grand témoins .
    A l’Eau vive et par l’intermédiaire des camps de l’Eau vive , beaucoup de vocations sont nées ou se sont développées .
    L’histoire de l’Eau vive liée aux Foyers de Charité et à nombre de communautés “nouvelles” qui se sont développées sur cette bonne terre , pourrait une source d’inspiration , un cas typique riche d’enseignement pour aujourd’hui ……..

    Mais encore faut-il le vouloir !

    Le père de Monteynard avait son caractère comme on dit mais c’était un homme , un prêtre , sans détour et sa parole sans complaisance avait du poids en peu de mots

  2. Le Précurseur dit :

    Quand allez-vous arrêter d’appeler les prêtres “le Père machin ou le Père Truc” je vous ai dit plusieurs fois qu’on appelle un prêtre “”Monsieur l’abbé” et pas du tout “mon père” cette expression ne se donne qu’aux moines… mais il n’y a rien à faire, chez Riposte Catholique, vous vous accrochez à cette nouvelle appellation, c’est quand même incroyable, renseignez-vous si vous ne me croyez pas !!!

    1. Winstersheim dit :

      Exactement !!!

    2. Annick dit :

      C’est stupéfiant ! Plus jeune ,le Père ne supportait pas le nom de ABBE.il disait : qu’est ce mot ,abbé de cour,ou de quoi ?
      Moyennant quoi,dés le début de son ministère,tous les étudiants l’ont appelé PÈRE..ET cela a tjrs été.

  3. bivert dit :

    j’ai connu l’EAU vive PAR LA Docteresse Marion CAHOUR de NANTES elle était au service de mes freres malades alcooliques

  4. Jacques Camand dit :

    je demande des explications pour ces remarques concernant le titre des prêtres :

    certains se font appeller don (cf. doon Bosco,de dominus maitre seigneur marque de respect castillan)
    d’autres par le passé, révérend

    Abba, abbé ne veut il pas dire père, même “papa” en hébreux
    donc Mr l’abbé = monsieur papa
    et Monsieur n’est il pas l’abréviation de Mon Seigneur or il n’y a qu’un seul Seigneur

    en latin dans le confiteor on dit “et tibi pater orare pro me..” donc père

    Père Abbé qui est le supérieur et ordinaire d’une abbaye (donc père et père)

    le respect est important, mais au ciel nous n’auront pas de titre, seulement notre degré de gloire par ce que nous auront donné sur terre Mt 25

    et bien en France on dit pas père comme dans les autres pays (padre, father), on dit mon père (avec un petit p) car la fille aînée de l’Eglise se distingue par un petit plus d’amour.

    et sous l’ancien régime les prêtres se faisaient appeler simplement Monsieur (cf. Monsieur Vincent), ou comme en Bretagne Monsieur le recteur.

    arrêtons le pharisianisme et les mondanités, rentrons dans la charité de l’Eau Vive du Saint Esprit, la miséricorde de Notre Seigneur Jésus Christ, dans le Coeur de Notre Père avec un grand P.

    alors “mon père” n’est pas braver l’interdiction de Notre Seigneur Mt 23,9 mais reconnaître la paternité spirituelle de celui sans les sacrements qu’il nous administre, nous irions en enfer !

  5. Plutôt que d’aller dans des propos et querelles stériles (père, abbé, dom ou autre),un petit témoignage :

    Entre 1974 et 1983, quand nous étions de nombreux jeunes à ne plus savoir où aller, à nous poser de questions sur l’avenir de l’Eglise et le nôtre, à chercher le vrai sens de nos vies, bref quand nous étions un peu déboussolés, le Père nous a montré le Christ, nous a enseigné et nous a très fermement maintenu dans le sein de l’Eglise notre Mère. Il nous a appris à être fidèle, même si cela coûtait. Il nous a donné l’enthousiasme et le désir d’aller toujours plus loin et plus haut. Son caractère vif était couplé à une très grande miséricorde et à un zèle débordant pour le salut des âmes.

    Témoignage court et très incomplet. C’est ce qui me vient au coeur à l’instant où j’apprends son passage vers Dieu. J’espère que Mgr Henri Brincard et Claude MAGNARD pourront l’accueillir et le présenter au Seigneur pour que le Père entre dans sa gloire.

  6. Moi aussi, j’ai tout de suite pensé à Claude et Mgr Brincard, à la joie de retrouvailles éternelles, je l’espère.

  7. hermeneias dit :

    Beaucoup sont passés à et par l’Eau Vive ET les Foyers de Charité beaucoup de vocations diverses et variées y ont muri grâce au père de Monteynard et à ses camps stimulants .
    Beaucoup sont entrés chez les chanoines réguliers de Champagne sur Rhone ou chez les frères de St Jean et quelques uns dans le clergé diocésain en grand marasme dans cette période troublée de l’après Concile Vatican 2 .
    Disons le clairement l’Eau Vive faisait partie de ces quelques lieux de ressourcement et de repos fortifiant , suaviter et fortiter , où l’on pouvait expérimenter la douceur et la force de l’Esprit Saint .

    Sachons en garder le meilleur et en tirer les enseignements pour AUJOURD’HUI ……

  8. hermeneias dit :

    L’exemple du Père de Monteynard et de l’Eau Vive montre une fois de plus , pour ceux qui n’auraient pas ou ne voudraient pas comprendre , que la grâce et les renouveaux dans l’Eglise passent par des personnes concrètes et pas par voie administrative , hiérarchique et “descendante” n’en déplaise aux bureaucrates et “politiques” de l’Eglise tentés par une volonté de puissance toute mondaine