Perepiscopus

Lettre Pastorale de Mgr Minnerath sur la synodalité dans l’Église

Article précédent
Le Denier en chantant
Commentaires (3)
  1. Gershom Leibowicz dit :

    Concilier collégialité et centralisme, déconcentration dans la gouvernance de l’église et primauté du siège romain est un exercice douloureux pour les adducteurs de nos évêques , qui ont passé depuis longtemps pour la plupart, l’âge ou l’on s’exerce au grand écart . A force de ne pas entrer dans la logique du Concile tout en disant l’appliquer , on le remet en cause; Qu’on s’en réjouisse ou qu’on le déplore;

    1. Courivaud dit :

      n’allons pas par quatre chemins : “qu’on le déplore”.

      On a abouti avec cette pastorale “du concile et post-conciliaire” à remplacer le principe d’autorité dans l’Eglise catholique avec une schizophrénie dont on n’a pas fini de payer le prix, Jean-Paul II et Benoit XVI “restaurationnistes” compris.
      Et dans cette catastrophe, les catholiques “modérés” ou “les silencieux dans l’Eglise”, surtout s’ils sont papolâtres, y sont pour beaucoup.

      Mais je sais “mille ans sont comme un seul jour” et le chef suprême de l’Eglise catholique, c’est Jésus-Christ.