La crise de Thiberville avait semblé se calmer : l’abbé Michel était devenu recteur de la petite église du Planquay, tout près de Thiberville. N’étant plus curé, il n’était habilité qu’à la célébration de la messe et les confessions. Mais il a conservé ses habitudes : catéchismes, mais aussi baptêmes (sans registre ?) sans autorisation. Des prêtres ont tenté en vain de le raisonner. Par conséquent, l’évêque a décidé de sévir :
« L’abbé Francis Michel devra être revenu à Evreux le 28 octobre où il disposera d’un appartement. (Il sera, après un court séjour de ressourcement en monastère, affecté au secrétariat de l’évêché.) Faute d’obéissance à cette injonction, sera requise contre lui la procédure de suspens a divinis. »