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Mise sous tutelle du diocèse de Quimper-Léon

Commentaires (21)
  1. gravierlinam dit :

    autre raison non invoquée:des chrétiens adhérents ou sympathisants du Front National, lassés de se faire
    réprimander et même insultés pour cause d’appartenance à un parti inavouable, alors qu’il était le seul où
    les réunions commençaient par la célébration de la Messe ont cessé de verser le denier du culte .

    1. J.-P._L dit :

      d’accord!
      Il faut que nos éminences cessent de condamner, même à mots couverts, tel ou tel parti politique, fût-il d’extrême gauche.

  2. Jean-Pierre Delmau dit :

    Comment n’a-t-on pas senti, dès les années 70, poindre la dérive des mœurs civiles et de la liturgie, et n’a-t-on pas vu que “l’enfouissement” menait à la disparition ? Qui donc peut être attiré par ce qu’on ne voit plus ?

  3. LB dit :

    le remède à la crise catholique c’est d’être vraiment catholique.
    Mais si un nombre croissant de laïcs le croient, un pourcentage terrible de prêtres pensent le contraire….

    1. Exactement. Il est toujours effarant de constater cela chez les prêtres. Tant de glorieux ordres religieux tombés en ruines.

    2. J.-P._L dit :

      Personne ne peut être attiré par ce qui se cache.
      Une lampe n’est pas faite pour être mise sous le boisseau mais sur le lampadaire.
      Le sel qui ne sale plus est bon à être jeté dehors et foulé aux pieds.
      Que votre non soit un non et votre oui un oui.

  4. Lamblin dit :

    Vous voulez dire pas politiquement correct ?

  5. Erminig dit :

    Manque de prêtres ? Mais faut-il considérer au nombre d’habitants ou au km2 ? Cette carte m’a étonnée au premier abord. Ayant connu deux situations très différentes : Levallois, diocèse de Nanterre, cinq messes par week-end dans une église quasi pleine. Population dense mais équipe paroissiale aussi. Et ça prend quasiment autant de temps de faire une messe devant 500 personnes que devant 10 personnes.
    Et le fin fond du Limousin où un seul prêtre devait faire des dizaines de km chaque jour pour aller faire les messes (ah, les messes de semaine devant cinq personnes… ) et donner les sacrements car territoire très étendu. Idem pour les quelques laïques volontaires qui eux aussi passaient leur temps sur les routes (et dépensaient des fortunes en essence et des heures de volontariat en semaine, donc situation très fragile. Le prêtre ne pouvait assurer que la moitié des enterrement pour des raisons purement logistiques. Souvent deux enterrements en même temps, chacun à un bout du département.
    Au quotidien, c’est là-bas que le manque de prêtres m’a paru le plus criant.

  6. RAYNAUD dit :

    Quimper, en difficulté financière . L’ Evéché avait bien trouvé 35.000 € + les frais pour s’ opposer au rachat de la chapelle de l’ancien hôpital psychiatrique pour que JAMAIS une messe de rite Saint Pie V ne puisse être célébrée . Ils avaient même dû emprunter la somme . En effet la vente était judiciaire, l’ Evéché a sur-enchéri pour aboutir à ses fins . Comme quoi l’ intolérance, la haine de la tradition peut vous amener … D’une façon plus générale, on peut résumer : plus de Culte, plus de denier et rappeler que les fidèles qui ont contribué à l’ édification … de tous ces monuments, de tous ces prieurés… l’ ont fait pour la Sanctification et le Culte rendu à Dieu et que l’ Evéché n’en est que le dépositaire et usager pour la propagation de la Foi

  7. Gaudete dit :

    Cette situation est normale , depuis 1970 ,on prend les pratiquants pour des gogos, dans la majorité des cas, les prêtres et évêques ne sont plus au service des fidèles mais d’eux-mêmes, ils ne veulent pas écouter les gens de la base sauf les cireurs de pompes qui gravitent autour d’eux. Ainsi le denier du culte devient une peau de chagrin à l’image d’une liturgie et de sermons quasi infantilisants. On ne veut pas écouter Rome, on préfère suivre le monde . Dieu merci une vague de nouveaux prêtres arrive qui va submerger les soixant-huitards et ce ne sera que bénéfique. D’ailleurs là où l’évêque est vraiment à la tête du troupeau comme Mgr Barbarin, le denier du culte augmente. Il suffit de prendre exemple!

  8. Vincent Delérins dit :

    Il faudrait aussi se questionner sur les salaires exorbitants que peuvent toucher “les petits copains”…. A l’archidiocèse de B… le comptable – recommandé par le diocèse de S qui ne pouvait plus le payer – émargerait près de 6000 e/mens ! Sans omettre les salaires monstrueux des DDEC, des DREAP, etc. Pendant ce temps là les prêtres diocésains vivent chichement et, lors d’un problème de santé ils ont bien du mal à faire face aux dépenses. Les évêques sont responsables et coupables de la grande misère de l’Eglise de France.!!!!

  9. Arnaud Markert dit :

    Vous écrivez ” diacres permanents, des laïcs qui peuvent consacrer “. Il convient de préciser qu’un diacre (permanent ou transitoire) est un clerc et non plus un laïc.

    De plus, le diacre ne peut “consacrer”. Liturgiquement et notamment, il peut administrer le baptême, être témoin ecclésiastique des épousailles, présider des obsèques.

  10. Melmiesse dit :

    Est-ce que le grand public connait réellement la vie des prêtres leur quotidien, leur but de vie ou ne voit-il que le prêtre membre et peut-être prisonnier d’un conseil paroissial sinon comment expliquer l’absence de vocation au milieu de nombreux chrétiens

  11. Puyg dit :

    vous citez dans votre article le diocèse de Mgr Rey , n est ce un exemplaire suivre , il y a certes nombres de prêtres qui sont religieux , mais n est ce pas la le succès et des vocations et d’un diocèse dynamique qui d après votre carte ne semble pas voir de pb et financiers et de nombre de prêtres !
    Idem le diocèse de Bayonne de Mgr Aillet semble épargne …..

  12. Jean-François dit :

    Une erreur s’est glissée dans votre article. Les difficultés financières que vous attribuez au diocèse de Besançon sont en fait celles du diocèse voisin de Saint Claude. L’article mis en pièce jointe le démontre. Pourriez-vous donc corriger votre étude à la lumière de ces éléments ?

    Merci d’avance

    meilleurs sentiments

  13. emmanuel2 dit :

    Peut-on savoir quels sont les critères adoptés pour déterminer les diocèses qui manquent de prêtres ? S’agit-il du nombre de prêtres par clochers ? Du nombre de prêtres au kilomètre carré ? Du nombre de prêtres par habitants ? Du nombre de prêtres par baptisés ? Du nombre de prêtres par pratiquants ? Tient-on compte de tous les prêtres quel que soit leur âge ou leur situation physique ? De telles informations rendraient la carte plus objective !

  14. Un économe diocésain du sud dit :

    Les informations de cet article ne sont pas exactes car elles ne prennent en compte qu’une partie de la situation. Si les difficultés sont réelles un peu partout (c’est exact), il convient surtout d’analyser les causes et de chercher les remèdes sans pour autant amputer les moyens de la première mission du diocèse : l’évangélisation. Les remèdes existent. Quand il y a des projets forts et qui permettent d’aller à l’essentiel, on trouve toujours les moyens sans pour autant mettre en péril l’équilibre financier précaire du diocèse.

    Pour assainir la situation, il faut être lucide et courageux, accepter de faire des coupes indispensables, avoir les yeux, le coeur et l’intelligence fixés résolument sur l’avenir, bref agir dans la foi en sachant reconnaître humblement ses torts, ses limites, et en s’entourant de personnes qualifiées qui ont le sens de l’Eglise. Je peux citer en exemple le diocèse de Digne qui était, il y a six ans, dans une situation dramatique. Aujourd’hui, il y a retour à l’équilibre, une capacité d’investissement, un avenir. Encore faut-il travailler dur, dans la solidarité, en expliquant les mesures draconiennes prises et surtout veiller à prendre les moyens de ne pas retomber dans errements anciens … C’est peut-être le plus dur.

  15. Jobard dit :

    Il manque Angoulême en rouge