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Encore un évêque obnubilé par les femmes dans l’Eglise

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L'origine du pape importe peu
Commentaires (10)
  1. Angélique dit :

    Oui, encore un qui est mal dans sa peau !!!! Que Monseigneur
    quitte c

  2. Boanergues dit :

    Encore un épiscope qui déraille, trouvant la pomme belle et appétissante avant de la croquer !

    Où a-t-il lu dans la Bible (pour autant qu’il en ait encore une sous la main) que Notre Seigneur Jésus, Souverain Prêtre, ait donner une seule place, un seul rôle, à une femme dans “l’organisation de l’Eglise” ?

    La première qui eut été sollicitée eut été sans conteste Sa Très Sainte Mère, la Vierge Marie qui n’a eu d’autre rôle qu’une vie faite d’humilité, de douceur et d’obéissance à la volonté de Dieu, auprès de son Fils, jusqu’au pied de la Croix.

    Lui donner un autre rôle n’était pas la volonté du Christ qui, le soir du Jeudi Saint, lors de la Dernière Cène, avait réuni autour Lui les DOUZE, et uniquement les DOUZE !

    Et il y avait déjà un traître parmi eux. Traître qui a fait école, sauf pour l’issue fatale, puisque l’Eglise est infestée de cardinaux et d’épiscopes qui ne sont que des Judas !

    Au fait, épiscope Wintzer avez-vous pensé à féminiser le nom de Judas, car elles sont nombreuses à se bousculer au portillon celles qui pourraient le porter !

    Votre cerveau serait touché de quelques signes d’Alzheimer que cela ne m’étonnerait pas !

    Prions pour qu’il n’y ait pas trop de Judas au conclave !

  3. de Ducla Patrick dit :

    Il n’y a rien a ajouter à la conclusion de cet entretien, les saintes femmes de l’Evangile ont tenu leur place, autant que celle des hommes, mais d’une manière différente, indispensable dans le plan de Dieu. Comme la femme et l’homme sont différents, mais complémentaires, leur rôle est également différent et complémentaire. On ne peut pas parler de supériorité de l’une ou bien de l’un par rapport à l’autre. Pour en revenir aux femmes dans l’Eglise, elles n’ont pas besoin de faire un travail d’homme pour être leur “égale”, il n’est que de voir sainte Thérèse “Docteur de l’Eglise”, elle n’a pas eu besoin d’être “ordonnée prêtre “……Et le meilleur exemple est encore la Sainte Mère de Dieu, Marie, avec la place qu’elle occupe dans l’Eglise !
    Je pense que ce débat sur la place que certains voudraient donner aux femmes dans l’Église est un faux débat, qui s’éloigne du message de l’Evangile, et trop proche des préoccupations “modernistes” de nos contemporains laïcs.

  4. Anne-Laure dit :

    Je trouve abusif d’interpréter l’expression “à l’heure actuelle” comme une question ouverte sur la présence des femmes dans l’Eglise. Jésus avait la plus grande considération pour Marie, sa mère qui a une place particulière dans l’Eglise, la plus grande! et on peut citer les saintes femmes des évangiles. Marthe, Marie, Véronique, Marie-Madeleine, la Samaritaine etc…. Je ne vois pas d’obsession de la part des évangélistes parce-qu’ils en parlent! L’homme et la femmes sont différents. Ils sont complémentaires. Ils ont des choses à apporter de manière différente. Point barre. Il n’a jamais été question d’ordination ou ou de femmes évêques en devenir! Quand l’évêque dit “à l’heure actuelle”, ça veut dire “maintenant”. Je ne vais pas chercher plus loin! Il ne faut pas prêter des pensées aux gens qui n’existent pas!

  5. Robert John Bennett dit :

    La phrase la plus importante de cet article, ou bien, de n’importe quel article que Riposte catholique a jamais publié, bien qu’elle est absolument politiquement incorrect aux yeux de notre pauvre monde moderne: “Vouloir confondre l’homme et la femme, croire que les deux sont interchangeables, qu’il faut des places pour l’une là où l’autre se trouve, c’est se rallier à l’idéologie du genre, laquelle tend à gommer la spécificité des vocations de l’homme et de la femme.”

  6. C.B. dit :

    Dommage qu’il ne rappelle pas que le “souverain pontife” est aussi le “serviteur des serviteurs de Dieu” [pas vraiment quelqu’un qui carbure à la lutte pour le pouvoir], et qu’il se prête à l’utilisation du terme “candidat”.
    Évidemment, c’est plus que difficile à faire comprendre à un journaliste ayant visiblement fort peu de culture historique et encore moins de culture catholique…

  7. THEOFREDE dit :

    Angélique est-elle bien dans sa peau ?
    il ne faudrait pas confondre les paroles mêmes de l’archevêque, qui sont de simple information, avec le commentaire qui en est fait
    Angélique sait-elle que plusieurs femmes ont été proclamées docteur de ‘Eglise ?

  8. Pennel danièle dit :

    elles sont encore minoritaires il est vrai!
    mais une autre forme de croyances , qui fait de la religion Chrétienne du moins une autre façon de voir les choses
    la pensée de jésus Christ, mieux enseignée, avec la femme moins coupable, moins tentatrice
    bien sur très difficilement acceptée,
    même dans la laïcité qui pourtant en aurait bien besoin””””de “””l’enseignement du Christ “”

  9. Athéna dit :

    On nage en pleine absurdité ! LLes hommes et les femmes sont complémentaires chacun dans le rôle qui leur est propre.

    J’ai la cinquantaine passée, et après avoir suivit les idéologies néfastes de mai 68, je me suis rendue compte il y a quelques années que tout cela était faut et extrémement nuisible pour la société.

    A force de tout mélanger et de refuser la différence entre homme et femme, plus personne n’est à sa place, et on en arrive à des situations facheuses.

    ce n’est pas parceque nous sommes différentes que nous sommes inférieurs
    . Le travail des femmes soit disant source d’épanouissement et de liberté est devenu un véritable esclavage. Nous sommes presque toutes tombées dans le piège. Mais qui de nos jours ose le dire parmi les post soixante huitardes ? bien peu ont cette honneteté.

    Quand je pense au couple de mes parents, (ma mère au foyer, mon père au boulot), je me rends compte qu’il y avait une réelle harmonie, et mon père qui n’avait jamais entendu parler de féminisme (cela n’existait pas encore) s’est toujours soucié du bien-être de ma mère et n’hésitait pas lors de ses congés à l’aider pour les tâches ménagères difficiles. d’ailleurs, ils m’avaient souvent mise en garde par rapport à toutes ces idéologies, et ils avaient bien raison ! Les femmes en couple malheureuses à l’époque de mes parents, cela était assez rare.

    Par contre aprés le grand n’importe quoi de mai soixante huit et les idées trés laxistes en matière de moeurs, c’est effectivement devenu tout autre chose, et les femmes au foyer sont devenues synonyme de pauvres idiotes ringardes vivant à l’age de pierre.

    Je me souviens d’ailleurs parfaitement de l’un des slogans des féministes : ” les femmes mariées ne sont que des prostituées gratuites et des femmes de ménage gratuites et en prime des reproductrices dont les hommes profitent éhontément.

    Il serait donc quasi criminel de vouloir s’occuper de ses enfants et de sa maison, et de veiller avec plaisir au bien être de ceux que l’on aime ? Mais il est clair bien sûr que cela implique une réciprocité de la part de l’époux à son niveau à lui.

    D’ailleurs dans l’évangile il est dit ” Hommes, aimez vos femmes comme votre propre chair “. Une fois de plus Si nous avions suivit les Saintes écritures, nous n’en serions pas la.

  10. Anne Lys dit :

    Certes, il est juste qu’une Église qui a connu une Hildegarde de Bingen, une Catherine de Sienne, une Térèse d’Avila, une Thérèse de l’Enfant Jésus et tant d’autres, reconnaisse leur droit à s’exprimer et la valeur de leur apport intellectuel. On peut penser que si, en d’autres temps, elle ne l’a pas fait, c’est parce que la société elle-même ne le permettait pas.

    Mais ce n’est pas une raison pour vouloir à tout prix que le rôle des femmes et des hommes soit en tout le même dans l’Église. Car si certains rôles, certes valorisants, et principalement le ministère de prêtre, d’évêque et de souverain pontife sont réservés aux hommes (ou plus exactement à un petit nombre d’hommes, spécialement appelés parmi les Chrétiens), il y a un rôle, lui aussi très valorisant, qui est réservé aux femmes (ou plus exactement à un certain nombre de femmes, spécialement appelées parmi les Chrétiennes), c’est celui d’épouse du Christ. Et de même qu’aucune femme ne peut être appelée à être prêtre, aucun homme ne peut être appelé à épouser le Christ.

    Personnellement, je ne pense pas qu’il y aurait des inconvénients majeurs à ce que des femmes puissent devenir diacres permanents, comme certains hommes et, comme eux, sans être appelées à devenir prêtres. Mais ce n’est pas à moi d’en juger…

    Mais puisque le Seigneur n’a choisi aucune femme (pas même sa Très sainte Mère, la plus sainte des créatures de Dieu, celle que tous les Chrétiens, prêtres, évêques, cardinaux ou souverains pontifes et les anges eux-mêmes reconnaissent comme leur Souveraine) pour devenir ministre de l’Eucharistie et du pardon des péchés, il faudrait une manifestation évidente (et peu probable) de Sa volonté contraire pour que les femmes puissent accéder à ces ministères…

    Et on ne peut pas prétendre que c’était à cause du poids de
    la société juive du temps : outre que le Seigneur a montré en de nombreuses occasions qu’Il ne s’en souciait guère, cette société juive avait accepté des femmes comme Juges et en acceptait comme prophètes, elle n’aurait sans doute pas été plus réticente devant des « prêtresses » que la très machiste société romaine contre les prêtresses de certains cultes…