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Lyon : Contributions pour le synode d’octobre 2015

Commentaires (5)
  1. Salomon dit :

    Il faut distinguer l’homophilie, attirance sexuelle pour une personne de même sexe de l’homosexualité, pratiques sexuelles avec une personne de même sexe. Dans le droit canonique, ce sont bien les actes qui sont gravement peccamineux et constituent un désordre grave de la personnalité.

    Un boiteux doit bien s’accommoder de sa boiterie, un lépreux de sa lèpre. Il doit aussi reconnaître que c’est un handicap et une souffrance, et ne souhaiter à personne de vivre ce qu’il vit. Parce qu’il est boiteux ou lépreux, il doit s’engager plus que d’autres dans la prévention de la boiterie et de la lèpre.

  2. stano37 dit :

    L’Eglise demandait de réfléchir et d’apporter sa contribution à partir du “relation synodi”, le risque -avéré semble-t-il et pas seulement à Lyon- était que cette possibilité d’expression ne serve de tribune à telle ou telle sensibilité (conservatrice ou progressiste pour caricaturer!!): c’est effectivement ce qui se passe car certaines contributions sont devenues de véritables doléances, pour une évolution -ou un statu quo- du magistère.
    L’intention du Pape de consulter pour obtenir des avis est louable, mais l’Eglise n’étant pas une démocratie, les différents “pétitionnaires” risquent d’être extrêmement déçus s’ils s’attendent à des transformations radicales de l’enseignement de l’Eglise sur ces questions.

  3. Fikmonskov dit :

    Quel est le problème avec “l’homosensibilité” ?

  4. Lucas dit :

    Il fut un temps, avant le politiquement et le financièrement correct, où l’homosexualité était classée par le DSM dans les troubles de la personnalité avec trouble l’identité sexuelle, avec ou sans troubles de conduite, avec ou sans trouble de contrôle de ses impulsions, parfois obsessionnelle compulsives, avec ou sans paraphilies.

    Il nous appartient d’aider tout homme, toute femme, sur le chemin de sa croissance personnelle. Toute croissance n’est possible qu’en identifiant les facteurs de limitation, les freins et les obstacles à la croissance. Il n’est jamais licite ni même charitable ou “miséricordieux” d’enfermer quelqu’un dans ses limitations ; il faut toujours lui tendre la main, malgré ses résistances inconscientes et son désir de ne pas changer.

    Je crois en l’homme et je lui fais confiance. Je pense vraiment que tout alcoolique, que tout toxicomane peut se libérer de son esclavage et de sa dépendance pathologique. Même s’il doit finalement mourir alcoolique ou toxicomane, je l’accompagne dans son cheminement.

    Je crois que tout homme, toute femme, a la possibilité et le devoir de contrôler ses pulsions sexuelles et que tout désir n’est pas sain en tout temps, toujours et partout. Je crois qu’il est possible de vivre avec quelqu’un, même si l’on est « re-marié » en étant abstinent définitif, pour vraiment beaucoup de raisons, mais par exemple en décidant d’être fidèle à un premier engagement. Je crois personnellement que le premier but du mariage est le soutien réciproque et le développement de chacun, que la sexualité est secondaire et l’enfantement le corollaire de l’engagement et (évidemment) de la sexualité.

  5. Struyven dit :

    Lorsque j’ai voulu “lire la suite” je me suis retrouvée sur une page avec un immense rectangle route où était inscrit CENSURE. Je suis contre la censure et trouve cela honteux. Mais je me rasSure, si cela continue, FB sera abandonné tôt ou tard….et internet mis à mal !