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Monique Baujard s’en va

Commentaires (8)
  1. Maurice dit :

    elle se plaignait que les évêques de France soient trop attentifs à leur communion avec l’évêque de Rome

    Serait-elle favorable à une église de France dans le genre de celle d’Angleterre, soit protestante ?

  2. C dit :

    Pourquoi et comment cette dame a-t-elle pu être choisie pour ce poste et si elle n’avait pas démissionné, est-ce à dire qu’elle serait restée pour continuer à distiller ses idées bien plus qu’hétérodoxes?
    L’influence, après Vatican II, des dames “catés bourgeoisie éclairée” (image en référence au dit et soit disant siècle des …et non pas spécialement par rapport aux fonctions peut-être exercées au départ par cette dame et à son milieu social d’origine) reste une grand point d’interrogation pour moi. Et dire que l’image d’Epinal ne garde que la caricature des dames patronnesses des ventes de charité, il y a eu pire depuis!
    Très éloignée de ce monde mondain autour des évêques, je m’interroge, en simple catho du bout d’un banc de derrière un pilier, sur un tel décalage entre le peuple de l’Eglise et sa réalité et une certaine hiérarchie (un peu comme certains politiques tellement éloignés du bien commun et au contraire si attachés au clientélisme!)
    Il me semble enfin que si les chrétiens de l’empire romain s’étaient accommodés de l’air du temps et avaient voulu modifier leurs croyances et pratiques pastorales par rapport aux mœurs généralement admis à l’époque, les chrétiens ne se seraient pas développés jusqu’à nos jours.

  3. HENRY dit :

    elle nous manque déjà.

  4. Courivaud dit :

    Trois années perdues par les autorités ecclésiastiques en France, à un moment particulièrement crucial….

    Pas de quoi pavoiser….

  5. lea dit :

    Il en va malheureusement de l’Église comme de la politique: le peuple et la hiérarchie, un fossé immense et le choix fait par cette dernière de “représentant(e)s”. Les oligarchies se trompent souvent par pharisaïsme, hyprocrisie, appât du gain ou du pouvoir… et il s’ensuit une distorsion abyssale entre les cardinaux, les évêques et le peuple des fidèles, entre le haut et les “sans dents”. Le pape François a eu raison de remettre les choses au point le 2 février, journée des consacré(e)s et de rappeler pendant cette année la valeur de la vocation, de toutes les vocations – appel fort auquel il est répondu de toute la personne, et ce jusqu’à la mort. Tous ces martyrs d’Inde ou de Chine, de la Serbie, d’Afrique, du Moyen Orient et les 21 coptes par le prétendu état islamique (EI) doivent être pour nous des modèles: sommes-nous capables dans nos sociétés endormies voire anesthésiées de faire face à ces défis que nous avons laissé germer et s’installer, de donner nos vies pour le Christ? Pour ma part, je prie tous les jours pour en avoir la force.
    D’où l’approfondissement indispensable des mots “personne” et “vocation”.

  6. Philippe VARLET dit :

    Cette femme n’est pas devenue brutalement une “gaucharde”. Elle avait déjà ces idées destructrices de la personne humaine, de la famille, de l’Église. Comment se fait-il qu’elle est été embauchée à ce poste important qu’est la directrice du Service national famille et société de la conférence des évêques de France ?
    Qui donc l’a proposé à ce poste ?
    Il serait bon de savoir quel personnage l’a recommandé pour occuper cette fonction et qui l’a engagé ?
    Si la prochaine directrice passe par les mêmes personnes que Monique Boujard, le problème se représentera.
    Il y a une taupe dans l’organisation qui travaille pour l’adversaire. Il serait bon de la découvrir. Le ver étant dans le fruit il serait de lui donner un vermifuge !

  7. ODIC dit :

    Je rejoins tout à fait l’exposé de “C ” – Il y a quand même des évêques en France qui lui étaient favorables sinon cette personne n’aurait pas été nommée ?
    C’est invraisemblable cette affaire… que de temps perdu et à qui pouvons nous vraiment faire confiance. Je me pose beaucoup de questions sur notre Eglise qui a fait le vide autour d’Elle.
    Je ressens une immense tristesse et un profond dégoût : que de gâchis, que de mensonges.
    Eglise de France qu’à tu encore à nous dire ? parfois je me le demande.
    N.O