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Religion et liberté au programme de la faculté de théologie catholique de Strasbourg

Commentaires (6)
  1. senex dit :

    Pas la peine de vous déplacer/La liberté ils sont pour … la*religion chacun est libre… gardez votre Week- end pour des choses sérieuses.

  2. senex dit :

    Ils feraient mieux de plancher sur l’objection de conscience;sujet on ne peut plus brûlant,mais tous ces universitaires ne veulent pas se brûler,ni se mouiller, c’est pas bon pour la carrière…

  3. Thècle dit :

    ça va voler sans doute très haut, braves gens de Foi de charbonnier, ce n’est pas pour vous !!!

  4. gaudet dit :

    je déconseille formellement à tous les catholiques réels , de participer à cette mascarade dans une université , dont l’appellation de catholique , ne signifie plus rien !

    Le problème n’est pas la liberté, mais bien la validité des sacrements de notre sainte Eglise, dont l’extrême importance , peut nous placer en grâce , vis à vis du Bon Dieu, le reste n’est que verbiage inutile et surtout dangereux !

    Cette université dévoyée, conduit des innocents sur des voies sans issues, et à mille lieux de ce que veut instaurer le pape François, qui n’a que faire d’intellectuels orgueilleux et froids, mais un peuple fervent, humble et surtout fidèle !

    Je suis littéralement effaré de voir l’impressionnante liste , des grands penseurs philosophiques participant , à grands frais , à ces manifestations empreintes évidement d’une énorme nullité morale et religieuse, à croire qu’ils ont vraiment du temps à perdre !

  5. Loco dit :

    Sur la grâce, la réponse de Jeanne d’Arc est la meilleure.

  6. luc perrin dit :

    C’est avec une grande consternation que je lis ce papier et pire encore les “commentaires” qui se bornent souvent à l’insulte sans substance et à l’aberration.

    Quelques rectifications élémentaires d’abord :
    – la Faculté de Théologie catholique est une entité qui jouit d’une certaine autonomie et de quelques règles particulières consacrées par une Convention de 1902 ratifiée par le Saint-Siège et acceptée dûment par la France en 1924.
    Elle délivre les diplômes canoniques.
    – lors de son Centenaire, le cardinal-préfet Grocholewski et Mgr le Nonce de même que Mgr Maillard avaient fait le déplacement
    – nous sommes en relation constante tant avec l’archevêque grand chancelier, Mgr Grallet, qu’avec les Congrégations romaines.
    L’université de Strasbourg est elle laïque comme toutes les universités d’État françaises, je pensais que ce fait était connu.

    Mgr Grallet est venu à la conférence du Prof. Marion, un universitaire catholique assez connu mais peut-être pas des gens ayant mis un “commentaire”. Son Excellence était assise à côté de moi.

    Comme le dit l’article d’ailleurs qui subitement en conclusion multiplie les attaques gratuites après avoir pourtant informé honnêtement au préalable, ce colloque est universitaire, au sein d’une université d’État – ce n’est pas un couvent ni une retraite spirituelle – est co-organisé par 2 organismes, notre Faculté et une société indépendante non-confessionnelle.

    Mieux le sujet est la liberté dans le contexte de la “philosophie de la religion”. Nul besoin d’être catholique romain pour s’intéresser à ou faire de la philosophie de la religion. Encore moins de convoquer le Saint Père et une délégation de l’épiscopat….

    Grâce à Dieu et pour la sérénité de ses diocésains, Mgr Grallet n’assiste pas à tous les colloques de la Faculté et de notre université, à toutes les Journées d’étude.
    Nous sommes toujours heureux cependant de bénéficier, à l’occasion, de sa présence. Comme ce fut le cas.

    A titre d’information, un nihil obstat du Grand chancelier après consultation de “Rome” est requis à l’issue des recrutements pour les enseignants titulaires. Il m’a été donné par Mgr Brand, Jean-Paul II pape régnant.

    Je me réjouis que nous contribuions à former des prêtres ou futurs prêtres dont certains viennent ou ont rejoint les sociétés de prêtres traditionalistes en communion avec Rome et même certains venant de la F.S.S.P.X

    Luc Perrin, enseignant
    2è Assesseur