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Un festival de la famille contre la famille

Commentaires (7)
  1. Courivaud dit :

    Bah ! pourquoi perdre son temps avec un commentaire trop long sur les errements de cet archevêque conciliaire ? Il suffit de montrer de façon concise au travers de cet exemple (ou d’autres) qu’une fois de plus, on tombe dans le panneau de la modernité.

    Puisque l’on parle ici de cinéma, le mal a déjà déjà fait lorsque Paul VI ou un Dicastère n’a pas, en 1968, imposé la dissolution de “l’office catholique international du cinéma” qui n’avait eu que des propos dithyrambiques pour parler du film “Théorème” de Pasolini, en oubliant totalement sa mission pédagogique et en se laissant imposer le point de vue d’un critique minoritaire – un jésuite – qui se targuait d’être cinéphile et ne voyait nullement l’entreprise de subversion du christianisme au travers du scénario développé dans ce film.

    (attention ! pas d’amalgame : Pasolini est écrivain, homme de théâtre, cinéaste que l’on peut étudier par exemple en histoire de la civilisation, que l’on peut critiquer bien sûr, mais on ne saurait mélanger le travail de critique et une mission tirée du Magistère).

  2. BALTUS dit :

    Nous, familles chrétiennes, ce diocèse nous engage à adopter le comportement qui découle de son projet. Sous couvert d’information ? Mais alors pourquoi celle-là précisément, alors que c’est celle des médias du système dont nous avons les oreilles rebattues du matin jusqu’au soir. Sous couvert de dialogue ? Mais ne sommes-nous pas dans la société civile bien plus en situation de dialogue que nos responsables religieux ? Sous couvert de réflexion ? Mais manger au râtelier favorise-t-il la réflexion ? Sous couvert d’ouverture ? Le nihilisme est-il une ouverture ?

    Parce qu’ une fois que nous aurons été endormis par le film, Claude Besson va se charger de nous réveiller dans “ l’autre monde “ en tentant de vous convaincre que “ l’Église met de côté les homosexuels catholiques “ au motif qu’Elle ne les accepterait pas “ comme ils sont et comme ils vivent “.
    Claude Besson n’accepte pas l’abstinence.mais elle est pourtant le lot ordinaire de tous les concupiscents que nous sommes, homosexuels ou pas. Et si le refus de l’abstinence doit être la règle, on imagine toutes les couleuvres que la religion inverse, qui se targue d’une pastorale mais qui est sans doctrine, est prête à nous faire avaler. En refusant la distinction entre inclination et acte, en acceptant à l’avance tous les actes auxquels nos inclinations peuvent nous conduire, Claude Besson veut nous engager sur le chemin d’une reconnaissance de toute union quelle qu’elle soit et à l’appeler “ famille “, car au nom de quoi refuser de reconnaître cette union récente d’une actrice anglaise avec son chien ? N’avait-elle pas droit elle aussi à une “ famille “ ?
    Et quand nous aurons dilué la famille authentique dans un magma de prétendues “ familles “, qu’en restera-t-il ?

  3. Françoise dit :

    Moi la ringarde, je trouve cela inacceptable dans un diocèse catholique.

  4. Panetier dit :

    D’abord prions ensuite :

    Il va falloir bombarder la boite mail de l’archevêché de mails respectueux mais fermes quand à la dépréciation des clercs et des fidèles sur le contenu de cette pastorale aux homosexuels.

    Soyons nombreux à dire que nous ne voulons pas de ça et ils le retireront.

    Deo gratias !

  5. Pauvre pécheur que je suis dit :

    Dénonçons la fourberie de nos philosophes car un péché demeure un péché + + +

  6. Féru dit :

    Facile, utiliser le liendans l’article et choisir “nous contacter” pour dire gentiment et fermement ce qu’on pense de l’initiative.

  7. Féru dit :

    J’ai reçu une réponse à mon message : le projet de diffusion de ce film a été abandonné !