Perepiscopus

A propos des nominations épiscopales

Commentaires (12)
  1. Michelet dit :

    Dans le même sens, sur Radio Vatican, on rappelle que les délits sont en augmentation au Vatican :

    un membre du clergé accusé d’escroquerie, blanchiment et corruption;

    un ancien nonce polonais révoqué après cinq années passées en République dominicaine, condamné pour pédophilie;

    un autre prélat polonais, économe de la basilique Sainte-Marie-Majeure, accusé d’escroquerie aggravée, condamné à trois ans et deux mois de prison (appel en cours).

  2. garmon dit :

    C’est le vendredi saint de l’Eglise, sa passion continue.

  3. France dit :

    Dieu bénisse cet authentique Monseigneur!
    “Un homme seul ou dix qui disent la vérité sont parfois plus puisqs

  4. Thierry dit :

    Rien à ajouter!

  5. France dit :

    Dieu bénisse cet authentique Monseigneur! Il est de ceux qui tentent d’éviter le naufrage de l’Eglise et la désespérance des fidèles. Puisse-t-il être compris et… écouté!… “Un homme seul, ou dix, qui disent la vérité sont parfois plus puissants qu’une foule d’autres réunis” disait sainte Thérèse d’Avila.

  6. Le Guen dit :

    Oh respects monseigneur et quel courage, au moins quelqu’un qui adresse des paroles dignes de l’Eglise et du Christ. On a bien en France quelques évêques qui comme lui défendent haut et fort le sacré et qui osent se dresser contre les lois impies du gouvernement mais ils ne sont qu’une petite minorité et ils sont moqués par les media et par leurs confrères, les autres prêtres, les catholiques pratiquants ou non. ça fait du bien de ne pas avoir une parole diliuée par l’esprit du monde ou des bisounours. Voilà qui rejoint le secret de La Salette, ses propos sont analogue à ceux de la Vierge Marie dans le Secret de La Salette, et on comprend (j’ai pas dit approuve) que les évêques aient mit leur véto sur ce secret, véto qui n’a tjs pas été levé par les évêques, alors que le secret a été publié depuis fort longtemps.

  7. j dit :

    Que les hommes de bonne volonté transmettent cette Lettre à tous les Évêques, ainsi qu’au Vicaire du Christ, l’Évêque de Rome, le Pape François, afin que soit remise en ordre de marche et dans la Vérité, l’Eglise du Christ !

    Sinon la purification se fera dans la douleur ” Convertissez-vous , faites pénitences et sacrifices sinon ce sera dans la peine et la douleur ” car Tu aimeras Ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces” à été transformé en “tu aimeras ton prochain ” …..C’est ainsi que nous avons reçu une doctrine différente car Dieu doit être servit en Premier et bien souvent c’est l’homme qui est servit avant Dieu !

    1. Françoise dit :

      @ Le Guen, petit rectificatif “Tu aimeras ton Dieu de tout cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces” n’a pas été transformé en “tu aimeras ton prochain” – mais j’ai appris plutôt cela : Premier commandement : “Tu aimeras ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces” – le second lui est SEMBLABLE : “Tu aimeras ton prochain de tout ton cœur, de toute ton âme, de toutes tes forces”.
      Celui qui dit “J’aime Dieu”, qu’il ne voit pas, mais qui n’aime pas son prochain, qu’il voit, est un menteur, il erre dans la nuit et ne sait pas où il va.
      En corollaire aussi Jésus revenu dans toute sa gloire le jour du jugement dernier selon Saint Mathieu dira “Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens (donc, le prochain), c’est à MOI que vous l’avez fait”. Et “Ce que vous n’avez PAS FAIT au plus petit d’entre les miens, c’est à MOI que vous NE L’AVEZ PAS FAIT”. Et le péché par omission envers le prochain (le laisser mourir de froid, de faim, ne pas le visiter quand il est malade etc.) vaudra aux indifférents apathiques le feu éternel. Et là, il sera trop tard pour refaire le passé.

      1. garmon dit :

        Nous serons jugé sur l’amour, inséparablement celui de Dieu et du prochain.
        J’aime bien ce texte du père Molinié :
        Accepter l’invasion dans notre cœur de toute la détresse et de toute la soif du monde est tout aussi redoutable (et c’est d’ailleurs exactement la même chose que d’accepter l’invasion du Christ).
        Il y a des personnes éprises de Dieu d’une manière très authentique et dévorante, qui n’ont jamais permis à la détresse du monde de bouleverser vraiment leurs entrailles et à l’ouragan de la miséricorde de faire chavirer leur barque, sans savoir, les malheureux, que Dieu se cache au cœur de ce naufrage et de cette lame de fond, ce Dieu qu’elles cherchent parfois avec une telle ardeur à travers peut-être de grandes austérités.

        M.D. Molinié

        Dieu vous garde Garmon

  8. moreau dit :

    J’envoie copie au Nonce à Paris…bien que celui-ci ne réponde pas au courrier même pour les affaires graves. Son prédécesseur était d’une autre trempe !

  9. toto dit :

    Bravo à ces prélats, persécutés par les communistes, qui voient clair et parlent vrai.
    Bravo le Kazakhstan, ils n’ont pas seulement Mgr Jan Pawel Lenga, mais aussi Mgr Schneider, évêque auxiliaire d’Astana. Au moins ceux-là ne vont pas apostasier.

  10. Xavier dit :

    Excellent et magnifique témoignage de ce qu’est l’authentique esprit apostolique.
    L’une des principales causes de la situation actuelle dans l’Eglise est que depuis le concile Vatican II, le principe de collégialité est appliqué. L’exercice concret de l’autorité a été transféré aux conseils pastoraux locaux: conseils pour la catéchèse, conseils de la ”pastorale liturgique”,… Depuis les années 60′, ce sont eux qui déterminent les choix à faire en matière de liturgie et de catéchisme. L’évêque local n’est plus qu’un président signataire. Il propose des choix et donne des conseils, certes, mais il ne décide plus seul. C’est l’une des principales causes des refus (quand ce n’est pas l’évêque lui-même qui est hostile) que rencontrent les fidèles qui demandent la messe tridentine ou le catéchisme traditionnel pour leurs enfants.
    Cette collégialité a entraîné en 50 ans la dissolution de l’autorité personnelle de l’évêque et l’affaiblissement du pouvoir du pape. Ainsi, Benoît XVI a démissionné au moment où il a réalisé qu’il ne parvenait pas à gouverner l’Eglise comme il aurait fallu.