Points Non Négociables

Chili : des fillettes de 9 ou 10 ans vaccinées contre le HPV

Commentaires (8)
  1. Françoise dit :

    Dégoûtant ! Et où est la liberté du consentement chez des fillettes même pas informées des risques encourus par l’usage du vaccin probablement inutile si elles deviennent des épouses chrétiennes fidèles ? De la violence pure et simple. Mais les bénéfices des laboratoires, c’est le souci n° 1 ici.

    1. Nostradamus dit :

      Effectivement Françoise,
      il y a des décennies que l’on a mis en évidence que le HPV (human pailloma virus) à l’origine du cancer du col de l’utérus ne se transmet exclusivement que par voie sexuelle.
      Il y a longtemps déjà que des études (sérieuses) avaient montré que le HPV était préférentiellement présent chez des femmes ayant des partenaires multiples et qu’il n’était pas présent chez des religieuses n’ayant pas de relations sexuelles.
      Le cancer du col dépisté assez tôt (par frottis) se traite assez bien (par conisation, résection ou radiothérapie locale).

      Par contre, ce qui est certain, c’est que ce vaccin (comme d’autres) peut avoir des effets secondaires graves, notamment neurologiques (entre autres).
      Puisque ces fillettes sont mineures, ce devrait être les parents, dûment et complètement informés des risques éventuels, qui prennent la décision de faire vacciner leur fille ou non (même mis gratuitement à disposition).
      Dans ce cas, il n’y a absolument aucun risque épidémique, et donc aucune justification d’une vaccination de masse OBLIGATOIRE.

  2. Julie dit :

    Pauvres petites filles saines qui vont peut-être souffrir d’une grave maladie dans peu de temps.
    Les gouvernements actuels se mêlent de gérer des domaines, le privé en particulier, qui ne les concernent pas.
    Cela devient une dictature !
    Et pourquoi s’en prendre aux petites alors que les hommes “sautent” sur tout ce qui est féminin ?
    Ne peut-on pas envisager d’éduquer les comportements au lieu de sacrifier toute une jeunesse ?
    Le monde sans Dieu est vraiment un monde à la dérive !!!

  3. kanjo dit :

    les fillettes chiliennes pauvres sont des cobayes humains :
    – dans un premier temps, les prédateurs sexuels seront lâchés sur ces pauvres filles, car il est probable qu’elles ne pratiqueront pas (du moins, pas de leur plein gré) le vagabondage sexuel qui justifierait ce vaccin.
    – dans vingt ans, on comptera combien sont mortes, combien sont malades, aveugles, stériles, paralysées… et combien ont le cancer de l’utérus. On prendra l’air catastrophé de rigueur pour prétendre s’apercevoir que toutes ces souffrances n’auront servi à rien. On versera quelques milliards à GSK (fabricant de Gardasil) pour le dédommager de la perte de revenus que constitue la fin de la commercialisation de ce poison, et on oubliera les chiliennes.
    On choisira un autre pays pour tester le vaccin suivant.
    Et ça durera aussi longtemps que les francs-maçons seront à la fois aux commandes de ces sociétés et des gouvernements. Qu’est-ce qu’on attend pour les chasser ?
    L’humoriste avait raison : la dictature, c’est : ferme ta gueule, la démocratie, c’est : cause toujours.

  4. Berjan dit :

    C ‘est dommage d’hipothéquer l’avenir de ces jeunes filles et l’éducation où est-elle ?

  5. toto dit :

    Tous les vaccins contiennent des additifs dangereux, dont des métaux comme l’aluminium, responsables de maladies neuro-dégénératives. Ici, ces vaccinations staliniennes équivalent à un viol pour un risque inéxistant et fabriqué par les propagandes des ministères de la santé, inféodés aux labos.