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Nominations dans le diocèse de Strasbourg

Commentaires (4)
  1. Simplicissimus dit :

    Le diocèse de Strasbourg… Aïe !
    Je ne doute pas qu’il y ait des prêtres méritants en Alsace, j’en connais qui, c’est vraiment très étonnant, croient en ce qu’ils font !
    Ce n’est pas vrai, hélas! pour l’ensemble du diocèse !
    Faudra-t-il que je me laisse aller au péché haïssable de la médisance ?
    Allez, voici un tout petit exemple du père Etienne Uberall qui s’en fiche éperdument des prescriptions en matière de liturgie :
    http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-36895026-6.html#anchorComment

    Oh ! Etienne n’est pas du tout un vilain bougre : il fait cela en toute bonne foi comme bien d’autres, depuis le séminaire. Il aime le rythme, les chansosn, l’ambiance quoi… Il formait au chant les séminaristes il y a bien longtemps déjà…
    Le diocèse de Strasbourg est l’un des plus effroyablement, dévastés de France !
    Qui pourrait croire les conversations qu’on y tenait au séminaire ,
    Critique systéma

  2. Simplicissimus dit :

    Mon commentaire a été interrompu par une maladresse. Voici la suite :
    Qui pourrait croire les conversations qu’on tenait au séminaire à la fin des années soixante et jusque dans les années quatre-vingt et peut-être maintenant encore ?
    – critique systématique du pape et des décisions du magistère : c’était vraiment de très bon ton, un sport pour se maintenir en bonne forme, en quelque sorte, et ne pas être dupes des superstitions du bon peuple.
    – inventions liturgiques complètement fantaisistes, qu’il ne fallait surtout pas critiquer. L’infaillibilité des curés conciliaires ne doit surtout pas, elle, être remise en cause ! La rage du vieil et hargneux Léon Arthur Elchinger, évêque de Strasbourg de1967 à 1984, contre toute forme de liturgie traditionnelle, était exemplaire.
    – doute systématique concernant les dogmes centraux du christianisme et du catholicisme, surtout la présence réelle . Y croire, aurait été faire preuve de naïveté ! J’en connais un qui ne se gênait jamais pour ridiculiser ces croyances et ceux qui les défendaient : après avoir été doyen de la faculté de théologie de Strasbourg (faculté d’Etat en vertu du concordat) il est maintenant premier vice-président de l’Université de Strasbourg. Ce personnage, complètement sécularisé, s’honore du titre de « théologien » et sait prendre des poses pour se faire valoir. Jamais « vanité » n’a signifiée aussi proprement « vide », « vain », « néant »… Comment croire un seul instant que la faculté de théologie placée sous son autorité enseigne la foi catholique et prépare les futurs prêtres à répondre aux défis contemporains, si rudes dans l’ambiance laïciste à la française ?
    -préférence systématique pour le protestantisme : ah !ils sont tellement plus intelligents ! et dénigrement de la tradition catholique.
    -Ah ! la faculté de théologie d’ « Etat » ! Elle n’a de « théologie » que le nom. L’attitude à l’égard de cette institution est très ambivalente : elle oscille entre le mépris pour les « intellectuels », pour la théologie, la culture chrétienne et l’appétit pour les diplômes de théologie « d’Etat » ( !) et les grades universitaires. Les rares professeurs qui y dispensaient un enseignement un tant soit peu traditionnel ou simplement « théologique » au vrai sens du terme, y étaient moqués. Admiration à l’inverse pour les trublions : à l’époque, le grand Hans Küng. Quel grand esprit ! Quel modestie surtout !
    « Doctorat en Théologie », qui ne succomberait parmi les petits clercs progressistes aux vertiges de ce titre ? En réalité, c’est une pure monnaie de singe.

    L’Alsace passait pour une terre de profonde tradition chrétienne. Aujourd’hui, c’est la forêt après l’incendie. Qui se souvient de la très riche culture religieuse de cette région depuis les origines de l’évangélisation par les moines irlandais, en passant par la mystique rhénane propagée par les ordres mendiants, les béguinages, l’humanisme chrétien, la Contre-Réforme, la floraison des nouveaux ordres au lendemain de la révolution française qui a compté ses martyrs et ses persécutés, les missionnaires alsaciens si nombreux et si dévoués …?
    Le remplacement massif et continu de populations, le développement rapide de l’Islam sans équivalent ailleurs en France, sont d’autant plus rapides et radicaux qu’ils se produisent dans un très grand vide culturel et religieux. L’Alsace, et la région mulhousienne surtout, où sévit depuis deux siècles une franc-maçonnerie d’une rare férocité et efficacité (elle a tout l’appui de Jean-Marie Bockel, le neveu de l’archiprêtre Mgr Pierre Bockel), est aujourd’hui une région radicalement déchristianisée.
    Il est de très bon ton, lorsqu’on est Alsacien de se dénigre. Ce masochisme y très implanté et très virulent : dénigrer l’histoire de l’Alsace, dénigrer la culture alsacienne et son héritage religieux millénaire, dénigrer, cela va de soi, la langue des ancêtres, reconstruire un passé complètement fantaisiste pour l’adapter à la férocité de l’idéologie dominante qu’on peut résumer dans le slogan qu’on nous martèle sans cesse : « de partout et de nulle part ». Les hommes politiques, et ce personnage d’une sotte vanité qu’est Jean-Marie Bockel en tête, se disputent avec un zèle et un empressement sans faiblesses les faveurs de l’électorat musulman (qui n’est pas dupe !), à coup de promesses, de constructions de mosquées « cathédrales », de propagande idéologique incessante en faveur du changement de peuple, de culture et de civilisation. Dans cette grande confusion, quelle peut bien être l’avenir de l’Eglise, du christianisme et de la culture chrétienne en Alsace ? Nos cerveaux, notre mémoire collective, notre histoire ont été « reformatés » si radicalement que le pessimisme le plus noir est de mise. Je crois sincèrement que c’est « fichu ». L’essentiel, à savoir la conscience collective de notre identité, de notre culture et de notre histoire, a été intégralement et irréversiblement détruit par toutes sortes d’agressions délirantes et absurdes. Parmi les armes les plus dévastatrices qu’on nous ressort régulièrement, la propagande « antifasciste » est l’une des plus efficaces : tout ce qui rappelle le passé, l’histoire et la culture est « fasciste », comme sait nous le prouver impitoyablement le grand prophète de ce mouvement qu’est le professeur médiéviste Georges Bischoff, toujours appelé à la rescousse pour nous culpabiliser et nous punir pour ce que nous sommes, avec bien sûr, l’armée des compères francs-maçons.
    Cette région, jadis si belle, aujourd’hui complètement enlaidie par l’urbanisation, est parsemée du nord au sud de témoins de temps très anciens, de pèlerinages, petites chapelles, calvaires, églises, couvents et monastères, de nombreux documents, manuscrits et incunables sommeillent dans les bibliothèques d’Europe qui rappelle sa belle histoire. Aujourd’hui, c’est un cimetière de coquilles vides.
    L’Alsace précède en quelque sorte la France et le reste de l’Europe : elle est une terre pionnière du Grand Remplacement, du Grand Nettoyage, du Grand Oubli, de la Grande Déchristianisation de la Grande Destruction de tout ce qui faisait l’Europe avec la complicité des curés : vive nous !

  3. martin dit :

    Non mais ! simplicissimus , n’importe quoi ! Sur quoi vous basez-vous pour affirmer que l’Alsace est un désert catholique ?

    nundabuckelnonamol!

  4. duc dit :

    bonsoir, pouvez vous me donner la nouvelle nomination du curé Régis Laulé qui était à la paroisse de saint Léon Je vous remercie par avance.