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La réforme du collège conforme à… Vatican II ?

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Commentaires (8)
  1. Struyven Marie-Thérèse dit :

    Je suis née de parents chrétiens pratiquants, ainsi que mes deux sœurs. Nous avions alors, il y a plus ou moins 50 ans, de véritables écoles catholiques. Nous commencions nos journées scolaires par une prière et en certaines occasions par une Messe. L’orientation était donc chrétienne en tout et notamment, bien sur, par le cours de religion.Les fêtes religieuses étaient expliquées et vécues en famille.
    La décadence s’est installée sur ces 50 dernières années. On veut supprimer les cours de religion, on peut voir et entendre dans les cours de récréation des noms grossiers de la part même de tous petits enfants, sans qu’ils soient repris ! Les enfants ont donc perdu l’habitude de se régler sur la prière et sur la Parole de Dieu…..après cela on s’étonne que nos enfants s’égarent……et se perdent pour certains.
    Cette fameuse réforme est à proscrire car elle ouvre la boite de Pandore ! Celle qui permet tout et qui ne sait plus distinguer le bien profond, du mal ! On parle d’humanisme, de civilité, etc…..mais où est la FOI dans tout cela. Lorsque je compare à présent les écoles catholiques avec les autres, je ne vois, hélas plus où est la différence. Qu’elle pitié !

  2. Pradayrol dit :

    Monsieur Pascal Balmand ne me REENCHANTE pas du TOUT!

    Que vient faire Vatican II dans ce sordide cloaque qu’est la réforme des idiots et la formation des imbéciles!

    Nous devo,ns virer cet incapable sur le champ!

    Que ceux qui ont des enfants dans les écoles catho créaient une pétition et moi à 70 ans je la signe sur le champ et nos enfants aussi!

  3. professeur Tournesol dit :

    Sainte Najat, santa subito !

  4. Delmau dit :

    Avec un tel salmigondis, on peut justifier n’importe quoi, la preuve…

  5. Antoine de Lisbonne dit :

    Entrisme. La seule explication rationnelle.

  6. Denis Merlin dit :

    L’enseignement catholique n’est que l’auxiliaire de l’éducation laïciste qui fut la mienne. Il piétine la liberté des parents au service du gouvernement socialiste totalitaire.

    Refusé par les Jésuites en 1958 (pour des raisons de look non-conforme car mes résultats scolaires étaient bons), j’ai fait huit ans de lycée laïciste. J’en souffre encore. Ils ont humilié ma mère sans raison. Tant de mes plus belles années perdues !

    Mais ce qui m’indigne le plus, ce sont ces cagots de l’enseignement “libre”, mielleux et cauteleux qui ont hypocritement refusé ma fille en raison de ce que elle était la fille de ses parents. Je vomis ces hypocrites auxiliaires du totalitarisme.

  7. volpette dit :

    Ce texte vaseux est de la bouillie pour chats, une vieille sauce indigeste de platitude, de poncifs et d’erreurs. Il y a en effet, une cinquantaine d’années de cela, des ordres de religieuses catholiques formaient les élèves à l’acquisition des connaissances, à la discipline, à la politesse et à la culture religieuse par des actions pratiques et des retraites spirituelles annuelles.
    La plupart des élèves étaient heureuses. Elles arrivaient prêtes pour une vie de futures mères de familles ou prêtes à poursuivre vers d’autres études. Tout se déroulait naturellement, dans un cadre d’enseignants compétents et attentifs, de programmes bien définis et combien sommes-nous, combien ? à conserver pour ces bonnes soeurs une reconnaissance immense, pour la façon dont elles ont enchanté notre jeunesse en l’instruisant ?
    Par contraste, combien de parents actuels, sont-ils écoeurés par le système éducatif, par l’ineptie du contenu des programmes, par le laxisme disciplinaire, par la violence et la grossièreté de nombreux élèves, par, par..par ….
    Et un sous-crétin soit-disant représentatif de nombre de parents, pond et ose sortir le genre de stupidités que nous lisons ici !

  8. Hervé Soulié dit :

    Triste de constater qu’on a pu nommer un Pierre Balmand à la tête de l’enseignement libre…..
    Cet homme ne fait tout simplement pas le poids dans la fonction qu’il occupe.