Osservatore Vaticano

Un cardinal recommande plus de femmes à la Curie

Commentaires (11)
  1. Boanergues dit :

    Prions afin que cet “illuminé” se rappelle la parole de Saint Paul : “Que les femmes se taisent dans les Eglises;”

    Qu’il se rappelle aussi qu’au soir de la dernière Cène, son Seigneur et Maître, Jésus, avait constitué Son Eglise et qu’aucune femme n’était présente, pas même la plus grande de toutes, la Sainte Vierge Marie, Sa Mère !

    Qu’il médite aussi le fait que dans cette Eglise naissante il y avait déjà un traître.

    Prions car aujourd’hui, si l’Eglise Catholique a d’abord grandi, elle décline à cause des traîtres qui s’y sont multipliés jusqu’à l’intérieur même du Vatican.

    La curie romaine va-t-elle recevoir l’oscar de la désobéissance à la Voix de l’Esprit-Saint !!!

    1. angelus uriel dit :

      Bravo Boanergues! Jézabel doit rester au pied de l’hotel!

    2. HOEL dit :

      Qu’en savez-vous ? Certainement, Marie-Madeleine était présente – d’après certains exégètes – et n’oubliez pas que le Christ ressuscité est apparu en premier lieu aux femmes.

      Alors, vos considérations sur la Vierge Marie apparaissent comme sérieusement obsolètes, voire assez ineptes…

  2. Denis CROUAN dit :

    Plus de femmes à la Curie ? D’accord. Mais en échange, moins d’anti-romains dans l’épiscopat.

  3. Wintenberger dit :

    Jean-Paul II déjà dans Mulieris Dignitatem encourageait la parité homme/femme dans tous les lieux de décision afin d’avoir une approche équilibrée de tous les problèmes, avec une vision masculine et une vision féminine s’harmonisant ensemble. De plus, on sait par expérience et bon sens populaire que les meilleurs gestionnaires financiers sont les mères de famille !
    Pour ce qui est du commentaire précédent, St Paul parlait du contexte de la Liturgie : les femmes étaient moins instruites que les hommes, elles risquaient d’interrompre la célébration pour demander des explications sur la prédication ou les Lectures, St Paul demande à ce que cela ne soit pas le cas et donc à ce que les femmes n’interrompent pas l’office mais qu’elles attendent d’être rentrées chez elles pour poser leurs questions à leur mari. Quant à la Cène, Jésus y institue Ses Prêtres, Son Clergé, pas Son Eglise qui est, Elle, constituée de clercs et de laïcs (hommes et femmes). Il est impossible qu’une femme soit ordonnée Prêtre car cela ne correspond pas à l’institution laissée par le Christ. Mais il n’est absoluement pas question de cela ici : il s’agit d’augmenter le nombre des laïcs y compris femmes et des religieuses dans la Curie romaine, ce qui semble une mesure de bon sens, compte tennu des qualités proprement féminines et maternelles qui, aux côtés des qualités plus viriles et paternelles, sont nécessaires à la gestion du bien commun. C’est une application des recommandations de Mulieris Dignitatem.

    +

  4. Bernard Gui dit :

    Plus de femmes ? Ce sera bientôt QUE des femmes. On voit ce qui s’est passé dans les paroisses (enfants de chœur, équipes liturgiques…) où les femmes après avoir été longtemps exclues du chœur y règnent désormais en maîtresses aussi despotiques qu’incompétentes.

  5. angelus uriel dit :

    Bernard Gui a bien saisi le problème, l’esprit de Jézabel guette encore!

  6. Abelard dit :

    Prions afin que cet « illuminé » se rappelle la parole de Saint Paul : « Que les femmes se taisent dans les Eglises; »

    C’est bien !
    Pour pouvez parfaitement postuler pour vous convertir à l’islam et devenir taliban.

  7. Maurice dit :

    En riposte à https://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/breves/un-cardinal-recommande-plus-de-femmes-a-la-curie#.UXpGM6IqxRJ
    Il semble que beaucoup n’ont pas encore mesuré l’infinité de notre chance d’avoir une Mère comme notre Mère du ciel. Toute une vie et plusieurs livres ne suffiraient pour dire les merveilles de la Mère Reine de l’univers. Ce que nous pouvons comprendre de par la révélation de son divin Fils, verbe incarné Consubstantiel au Pére Eternel, ne nous donne pas les merveilles cachées par la perfection de l’humilité de la sainte Reine.
    Après la passion de Notre Seigneur et jusqu’à la fin de son pélérinage sur la terre elle fut le guide humain participant à l’accomplissement de la primitive eglise de son divin Fils. Elle est pour nous la médiatrice de toutes grâces du Dieu Trinne, Fille préférée du Père, Mére du verbe incané, Epouse immaculée de l’Esprit –Saint.
    Que pouvons-nous avoir de plus. Si !. Donnez-moi, Ô charitable Mère, la pensée et l’habitude de recourir toujours à vous.

  8. Maurice dit :

    En réponse à Boanergues:
    A tous les moments de sa vie de pèlerin dans le monde, notre Mère du ciel fut présente aux mouvements de son divin Fils. A Canaan, au mont Tabor, à la dernière scène, au calvaire (l’autel du sacrifice). Et par après, à la lapidation de St Etienne. Libérant St Jacques le majeur à Grenade et Saragosse (notre Dame du Pilier), ceci avant son assomption.
    Si l’Eternelle ne nous avait donné nos humbles mères pour nous éduquer à la piété comme le fit la Mère de la sainte famille.