Perepiscopus

Une Eglise non unie à son évêque est malade

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Mgr Moutel en visite pastorale
Commentaires (12)
  1. Courivaud dit :

    Voici la thèse (exprimée assez classiquement d’ailleurs, à condition d’avoir le texte ENTIER de l’allocution, à indiquer aux lecteurs).
    Attendons l’antithèse, puisque le pape François 1er, qui aime le bavardage aime bien brouiller les pistes, ce qui n’est pas bon signe… des temps par les temps qui courent. En tout cas, cela n’annonce toujours pas le retour du principe d’autorité dans l’Eglise catholique.

  2. Shimon dit :

    Le saint-père François se sentirait-il contesté?

  3. toto dit :

    Des fidèles non unis à un évêque hérétique sont seuls dans l’Eglise, l’évêque est en dehors.
    La grande majorité des évêques français est en état de schisme effectif.

  4. IP dit :

    Ah… Vous trouvez ça clair, vous ?!

  5. Michel en Lys dit :

    Dixit : Il ne peut y avoir d’Église saine si les fidèles, les diacres et les prêtres ne sont pas unis à leur évêque. Une Église non unie à son évêque est malade.

    L’inverse est aussi vrai pour les évêques lorsqu’ils refusent ou manipulent la Volonté de Dieu!

  6. Henri dit :

    Certes une Eglise non unie à son évêque est malade. Mais il y a deux cas de figure. Si l’évêque est dans la vérité, la maladie consiste dans le fait que les fidèles ne suivent pas, comme ils le devraient, leur bon évêque. Mais si l’évêque est dans l’hérésie, comme on en rencontre beaucoup par les temps qui courent, c’est en la maladie de l’évêque lui-même que réside la maladie de l’Eglise, et lorsque son hérésie est manifeste, les fidèles ont non seulement le droit, mais le devoir de marquer fermement leur opposition.

    Autrement dit, cette réflexion du pape est profondément relativiste. Elle oublie tout simplement qu’il y a le vrai et le faux, et que tout dépend donc de savoir si l’évêque est du côté de l’erreur ou de la vérité. Sans doute serait-on en droit d’attendre que l’évêque soit le plus souvent et même toujours du côté de la vérité, mais il n’en va malheureusement pas ainsi aujourd’hui,où l’Eglise est devenue un bateau ivre, ce dont témoigne en particulier ce synode rocambolesque qui vient de s’achever.

    1. Melchior dit :

      Bonjour Henri,
      il y a aussi le cas d’une Eglise malade du fait des prêtres et curés qui défient, dénigrent leur Evêque et intriguent contre lui en haut lieu au point de l’obliger à partir… Comme en Finistère par exemple.
      je sais que la Bretagne se targue de ses particularismes, mais là, chapeau, pourrait-on dire, sauf qu’on ne le dira pas car ce déferlement de haine et de coups bas de la part de prêtres à l’encontre de leur Pasteur a meurtri et continue d’abîmer bien des personnes comme leur entourage. Quel beau diocèse, vraiment !
      Cette Eglise là est vraiment très malade, d’autant plus qu’elle refuse de s’en rendre compte

  7. dh dit :

    La photo de bergoglio tête masquée peut s’expliquer comment ?

    1. Isa dit :

      bergoglio !!?? La critique n’empêche pas le respect! Etre catholique c’est croire en l’ordre des choses créée par Dieu. Le respect et la fidélité découle donc de notre foi.
      Une catholique “intégriste”!

  8. Pierre Martin dit :

    Le nouveau rite de consécration épiscopale n’est pas sans poser des questions. Un dominicain y répond fort lumineusement : http://www.chire.fr/A-132193-sont-ils-eveques-le-nouveau-rituel-de-consecration-episcopale-est-il-valide.aspx .

  9. Onclin dit :

    On pense entendre Henri VIII sur son trône de gloire, demandant allégeance, mais ici de tous les évêques et cardinaux, à son pouvoir. Ceci annonce bien sûr l’extermination des Évêques et des Cardinaux non lobotomisés aux niveaux des principes fondamentaux énoncés par le Christ, type :
    Cardinal Burke, Antony Ward, Juan-Miguel Ferrer Grenesche et autres. Heureux que l’échafaud est rouillé, la rouille n’avait pas encore atteint le mécanisme du temps de Saint Thomas More.