En Une

« Fin de vie » ? Non, le malade condamné à mort a choisi de vivre !

Commentaires (6)
  1. Maurice dit :

    N’est-ce pas un bel exemple de condamnation à mort de la part de médecins ?
    Ses mêmes médecins qui semblent oublier le serment d’Hippocrate traditionnellement prêté par les médecins en Occident avant de commencer à exercer ? Est-il devenu le serment d’hypocrite ?
    Nous n’avons plus de condamnation à mort pour les meurtriers, mais en avons pour les malades qui comment à coûter à la société ! N’y a-t-il pas là quelque chose qui ne va pas ? Et contrairement aux condamnations à embrasser la veuve qui était prise par un jury, là c’est la décision d’une personne ! Décision très personnelle prise plus par conviction idéologique que médicale. N’est-ce pas un retour à l’idéologie combattue y a 70/80 ans ? Cette idéologie aurait-elle des résurgences ? N’oublions pas que la Suède l’a pratiqué jusque dans le milieu des années 70.

  2. Olivia dit :

    Bonjour, je suis infirmière et j’ai le sentiment en lisant les derniers articles sur la fin de vie que la crainte de l’euthanasie justifierait l’acharnement thérapeutique quand celui-ci est voulu par le patient. Pour avoir travaillé dans un service de pneumo-oncologie où des soins palliatifs étaient régulièrement délivrés je n’ai jamais eu le sentiment qu’ils étaient mis en place “pour la mort dans la dignité” mais parce que le bénéfice des soins “curatifs” était inférieur au bénéfice d’une fin de vie avec des soins moins invasifs et plus paisibles. Je pense suite à mon expérience personnelle que les patients dont j’ai pu m’occuper étaient plus inquiets de savoir qu’ils pouvaient mourir et qu’ils étaient prêts coûte que coûte à continuer de vivre plutôt qu’à se préparer à la rencontre avec leur Créateur. Je ne juge ni les patients dont j’ai eu à m’occuper, ni les équipes médicales avec qui j’ai travaillé pas plus que les situations présentées sur ce blog mais je souhaiterais exprimer la conclusion à laquelle je suis parvenue. Ce qui manque dans toutes ces situations c’est la Foi et la résignation à la volonté Divine. Autant pour décider de soins à continuer que de soins à arrêter. Sans cela il y aura toujours des exemples et des contre exemple et sans appeler forcément au renoncement aux droits de vie et de mort du Créateur de toute chose, je pense qu’il est plus “saint” dans ces derniers moments d’en appeler à la justice de Dieu plutôt qu’à la justice des hommes. Votre servante.

  3. gerard dit :

    A petite échelle la machine a Adolphe?

  4. gaudet dit :

    Ainsi donc avant même qu’une législation mortifère ne soit adoptée en parlement par nos députés honteusement maçons, voilà donc que des autorités purement administratives et même pas judiciaires, se reconnaissent le droit exorbitant de décider arbitrairement de la mort d’un homme, ayant clairement exprimé son désir de vivre !

    C’est ainsi que nous sommes confrontés à la mise en place d’un ignoble système bureaucratique, permettant à de froids fonctionnaires d’état, de décider de la vie et de la mort, exactement comme le faisant les médecins nazis des années 30 , à l’encontre des handicapés et autres sujets considérés comme inaptes à la société nouvelle nationale socialiste!

    Nul n’est donc besoin d’entamer un quelconque débat parlementaire, ( évidemment fort coûteux ) puisque désormais, tout bureaucrate d’administration pourra prendre une décision souveraine sur la vie et la mort de personnes , “jugées ” condamnées ou simplement inutiles !

    Il y a bien des années , j’avais lu une bande dessinée dont le titre était ” Tanatha” qui décrivait l’activité d’une tueuse professionnelle qui se rendait au domicile de personnes âgées, dans le but de les assassiner froidement , car ces dernières figuraient sur une liste d’individus que le gouvernement estimaient inutiles à la société , en raison de leur situation médicale ou leur âge avancé! à l’époque , cette bande dessinée ridicule m’avait fait rire, mais maintenant je suis obligé de constater que l’on s’achemine vers un type de société strictement calqué sur celle décrite dans le livre “Tanatha”, et que les grands chefs du Reich Allemand n’auraient certainement pas désavoué!

    Dés lors , sachons que la sécurité de tout un chacun dans cette France maudite du 21°siècle, est désormais dangereusement menacée, et je comprend que des personnes appelées à perdre un être cher , auquel on a refusé des soins qu’il pourtant réclamait, en viennent à des réaction violentes , mais moralement légitimes !

    Voilà donc le type de civilisation future de l’horreur ! que nos sales gouvernants, fortement secondés par des bureaucrates soumis et débiles, sont en train de nous criminellement concocter , et là encore il revient à nos autorités ecclésiastiques catholiques, de se lancer dans un immense mouvement de colère et de protestation

    C’est donc à nos évêques , qu’il revient le devoir d’alerter l’opinion publique sur l’existence de ce péril épouvantable, au moyen de déclarations dans la presse, d’articles dans tous les bulletins paroissiaux, mais surtout d’homélies d’une puissance et d’une sévérité extraordinaires , prononcées à l’occasion de tous les grands rassemblements catholiques

  5. vendome dit :

    Chère Madame,
    Quand allons-nous de nouveau vous lire dans Présent?
    Bien amicalement