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Irlande : naissance par césarienne d’un bébé que sa mère voulait avorter

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Camp chantier à Riaumont
Commentaires (12)
  1. Shimon dit :

    belle histoire, bonne nouvelle: “il vit!!”.
    Mais il n’est pas encore tiré d’affaire. Que Dieu lui prête vie.

  2. John-Paul dit :

    Il est facile de SIMULER des tendances suicidaires, il est toujours difficile pour un psychiatre d’en apprécier l’importance et la dangerosité. Aussi la règle de base déontologique est-elle de prendre toute déclaration comme véridique. Le traitement chimique (thymoanaleptiques (antidépresseurs) et anxiolytiques) d’une femme enceinte est toujours délicat, surtout en début de grossesse.
    Il est quasi systématique qu’une femme enceinte soit INQUIÈTE pour sa grossesse et pour son accouchement. Il est normal qu’elle soit inquiète pour l’avenir de son enfant. Il est normal qu’elle s’inquiète pour son avenir personnel après l’accouchement. Non, rien ne sera plus comme avant.
    Il est rare qu’une femme enceinte soit vraiment DÉPRIMÉE. Son organisme est en plein anabolisme sous l’influence de la progestérone qui est plutôt euphorisante. Qu’une femme enceinte soit réellement SUICIDAIRE est rare.
    W. Harvey

  3. Hippocrate dit :

    Les médecins ne sont pas des « faiseuses d’anges » ; ils n’avortent pas sur un coin de table de cuisine. Lorsque l’on se lance dans ce genre de business on s’entoure de « collaborateurs » compétents et dévoués à l’entreprise.
    Dans « certains milieux » il n’est pas si difficile que cela de trouver des confrères complaisants prêts à signer n’importe quoi.
    Hippocrate.

  4. Joseph dit :

    En Belgique, la plupart des avortements (comme des euthanasie) se font « hors cadre » légal ; pourquoi se compliquer la vie ?
    Joseph Mengele.

  5. Albert dit :

    La loi ne peut rien encadrer ni rien limiter.
    Le seul moyen de réduire le nombre d’avortements est la prise de conscience par la mère, mais aussi par le père, qu’il s’agit bien d’un homicide avec préméditation, d’une vraie mise à mort, d’un contrat sur la tête de son enfant.
    A vingt jours d’existence, soit une semaine de retard de règle, le cœur commence à battre (cinq semaines après les dernières règles).
    Mais la conscientisation ne suffit pas, il faut en outre
    – des mesures sociales de soutien et d’accompagnement de toute grossesse et des familles nombreuses, et en ultime recours la possibilité d’abandon à la naissance.
    – une vraie éducation à la sexualité qui est aussi continence pour faire place à l’amour.
    Albert Schweitzer

  6. Knock dit :

    L’avortement est un métier rentable, surtout lorsqu’on s’est fait une certaine « réputation ». Si on s’y adonne, il faut le faire sérieusement.
    Knock.

  7. Shimon dit :

    Je veux saluer le courage de cette mère, qui face aux pressions de la famille et aux menaces de rejet, face peut-être aux menaces de son employeur, face surtout au lâche abandon du père, face aux pressions d’une partie du corps médical et du lobby pro-mort, a choisi de donner une chance à son enfant.
    Shimon Levi.

  8. Claude dit :

    Merci maman, dans la situation extrêmement difficile où tu étais de m’avoir laissé vivre, de ne pas avoir cédé à la « mode » du « tout tuer » pour mieux survivre toi.
    Claude Bernard

  9. Alexis dit :

    Si la grossesse de cette jeune femme était « avancée » l’avortement par empoisonnement chimique à la mifépristone (Mifégyne / RU486) n’était plus possible même avec des superdoses de prostaglandine (Cytotec ou autre) pour faciliter l’expulsion.
    L’alternative était, après dilatation du col, le démembrement de l’enfant in utero par aspiration fragmentée, éventuellement suivi d’un curetage si rétention résiduelle.
    Alexis Carrel

    1. Françoise dit :

      @ Alexis : En Chine, des avortements forcés ou plutôt infanticides contre le gré de la mère à 7, 8 mois de grossesse et plus sont encore pratiqués avec la “piqûre de poison” (dont Joseph Mengele doit connaître la formule secrète) sur des femmes qui ont eu l’audace de concevoir un 2ème enfant sans autorisation et qui croyaient pouvoir cacher leur grossesse longtemps en espérant naïvement qu’arrivées près du terme les autorités épargneraient le petit … non ! l’amende est si salée que bien des mères qui n’ont pas les moyens de la payer sont traînées de force dans un hôpital où leur enfant sera mis à mort. Toutefois j’ai lu dans la presse CH que le public chinois commence à se révolter contre ce genre de pratique.
      On est bien loin du cas cité plus haut. Et que pensera de sa mère ce petit, qui avait tant besoin de rester dans son ventre pour les “finitions” et qui va être adopté, quand il sera en âge de comprendre ?

  10. Ambroise dit :

    Un accouchement par césarienne, c’est une cicatrice sus-pubienne bien plus grande que celle d’une appendicite. C’est sectionner transversalement les muscles abdominaux et les muscles de la matrice. C’est au minimum une anesthésie loco-régionale rachidienne ou éventuellement une anesthésie générale.
    Cette femme fût courageuse.
    Ambroise Paré

  11. John-Paul dit :

    @ Françoise
    Il semble qu’en Chine la plupart des avortements tardifs se fassent par injection saline directe dans le sac amniotique à travers la paroi abdominale. Ce genre de “traitement” peut se faire sur une table de cuisine, au domicile de la mère.
    Transformer son enfant en hareng saure ne lui facilite pas la vie; même s’il est expulsé vivant.
    C’est aussi cette méthode qui est utilisée dans certains avortoirs des États-Unis et qui fait que certains enfants survivent à un avortement.