Summorum Pontificum

Le carmel d’Alençon reprend la forme extraordinaire…

Commentaires (6)
  1. Castille dit :

    ..Comparez par exemple les traductions du missel Dom Lefebvre avec celles d’un missel moderne. Le ton n’est pas du tout le même. Aujourd’hui on parle à Dieu d’égal à égal, ou peu s’en faut…..

    Oui « ou peu s’en faut ». Quoiqu’il en soit dans les prières du XIXe, nous ne jouions pas à tutoyer Dieu. Comme des protestants désireux de montrer qu’Ils le connaissent mieux que tout le monde.
    La déférence, l’extrême délicatesse, la componction des anciennes prières marquent l’amour filial que nous avons pour un Père que nous ne voudrions peiner pour rien au monde. Plutôt mourir.
    Certes la messe en latin élève l’âme, mais le français du 19eme la maintenait haletante du désir de Dieu. Tous les beaux cantiques, toutes les belles prières en attestent.

    Aujourd’hui quand ils ont chanté « Couronnée d’étoiles, la lune est sous tes pas », c’est d’un plat et pourtant ils croient l’avoir inventée. La lune cela va sans dire.

  2. Hélène dit :

    Mon Dieu que ce genre de nouvelle fait du bien!!!

  3. gérard dit :

    Explication merveilleuse de la messe d’avant Vatican II .

  4. Vallet-Sandre dit :

    Enfin une bonne nouvelle

  5. Rosme dit :

    Merci à celui qui, en premier, a pris la défense de messe de toujours : Mgr Lefebvre.
    Il ne faut pas oublier tout ce qu’on lui doit. Sans lui, la messe dite “de la forme extraordinaire” n’existerait plus.

  6. GASTINEAU dit :

    Je connais ce Carmel. On y est saisi par l’atmosphère de prière. C’est un lieu de silence et de paix. Quel bonheur d’y vivre la liturgie traditionnelle avec cette sacralité qui fait tant défaut parfois. Si j’avais la grâce d’habiter Alençon, c’est là que j’irai chaque jour ! Et quelle joie de pouvoir chanter la messe en grégorien le dimanche, c’est ça la “participation active ” au saint sacrifice ! Ce Carmel est comme un tabernacle dans la ville ! Merci mes sœurs !