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Yves Chiron et l'herméneutique de Vatican II

Commentaires (5)
  1. senex dit :

    16 décembre 2053 On vient de former la 56 eme commision pour discuter de l’herméneutique du sens du sens du sens du sens de la réforme de la 58 eme réforme revue et relue à la lumière du Concile V 2.On pense aboutir à la composition d’un groupe d’études qui donnera le sens d”‘herméneutique”.Alleluia

  2. gérard fauche dit :

    Pour Senex :
    et oui, pas facile, mais possible !
    nous pouvons même penser qu’il y aura une solution avant 2053.

  3. Vincent MORLIER dit :

    Bjr à tous ceux qui cherchent la Vérité pour… la trouver (car des chercheurs qui cherchent, on en trouve à foison, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche).
    Qu’est-ce que “l’herméneutique de continuité” ? Notre-Seigneur emploie des paraboles dans l’Evangile, car la méthode est un raccourci merveilleux pour faire accéder les âmes simples et droites à l’essence de la vérité.
    Voici ma parabole concernant “l’herméneutique de continuité” :
    Imaginez un mourant de soif dans le désert. Le pauvre malheureux se traîne déjà sur le sable, sous les rayons implacables d’un soleil atrocement brûlant. Il n’a déjà plus la force de marcher, il se traîne sur le sable brûlant. Relevant péniblement la tête, il voit tout-à-coup à l’horizon, là-bas, au loin, une nappe d’eau qui scintille, qui miroite à ses yeux éblouis, qui verdoie et qui poudroie aurait dit soeur Anne… Dans un élan enthousiaste, il rassemble ses dernières forces, se relève et court en titubant vers la nappe d’eau qui miroite et qui poudroie, qui, que, etc. Malheur ! Au fur et à mesure qu’il avance vers elle, il se rend compte qu’elle S’ELOIGNE A PROPORTION. Et soudain, il comprend, s’affaisse sur le sable, et, comme il est chrétien, s’apprête à mourir courageusement en union avec le Christ sur la Croix.
    Voilà. Fin de la parabole. C’est ça, “l’herméneutique de continuité” : un mirage attisé et entretenu par l’illusion.
    Quant à moi, je crois que nous sommes aux temps de la fin, ce qui signifie que l’Eglise vit la Passion du Christ, sainte Passion qu’elle réplique, en épouse immaculée, pour ainsi dire en décalcomanie présentement. “[L’Eglise] est faite péché pour notre salut” (II Cor. V, 21). Ayant beaucoup réfléchi sur ces sujets, j’en ai fait quelques livres qui pourraient intéresser, je pense, les lecteurs qui sont des chercheurs qui espèrent trouver. Je rassure tout-de-suite : je ne suis pas sédévacantiste, laquelle thèse est le fait de trouveurs qui n’ont pas cherché, ils ont “trouvé” avant de chercher véritablement… J’ai mis tous ces livres sur Internet, car, en tant que chercheur qui trouve, je ne peux intéresser PERSONNE, sauf évidemment des chercheurs qui espèrent trouver, et qui sont rarissimes de nos jours. Voici le lien :
    http://www.fatima.be/fr/editions/avm/index.php
    La thèse que je développe dans ces livres est celle de LA PASSION DE L’EGLISE.
    On peut m’en écrire à l’adresse courriel suivante : vmorlier@club-internet.fr

  4. Jean Ferrand dit :

    “La Réception du deuxième concile du Vatican dans l’Église catholique allemande sous le pontificat de Paul V,”

    Je croyais que c’étair Paul VI. Me trompé-je de siècle ?

  5. Kris Vancauwenberghe dit :

    “Paradoxalement (…), c’est dans certains milieux considérés comme traditionalistes que le méfiance à l’égard du débat sur Vatican II est le plus grand”. Paradoxal en un sens, guère étonnant en un autre. Certaines personnes et organisations du monde Ecclesia Dei (je dis bien “certaines”, pour ne pas mettre tout le monde dans le même sac) ressentent comme un besoin de se faire pardonner leurs crimes tradis passés et confessent donc, avec un enthousiasme que personne ne leur réclame, un conciliarisme aigu. C’est analogiquement le zèle d’hypercorrection des anciens bourgeois qui, repentis, professent un socialisme sourcilleux et s’accusent proactivement de leurs crimes impérialistes passés.
    Dommage pour des intellectuels de cette carrure. Il serait plus fécond pour le bien de l’Eglise d’accepter d’ouvrir la réflexion que demande Mgr Gherardini, et qui a commencé à être ouverte par le Saint Siège lui-même (le décret du 21/01/09 parle de “necessari colloqui” sur les “questioni ancora aperte”, et reconnaît ainsi que Vatican II est une question encore ouverte, dont il est nécessaire de discuter).