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Paix Liturgique fait un bilan des 10 ans d’application du Motu Proprio Summorum Pontificum

Commentaires (3)
  1. Bruno ANEL dit :

    Je ne vois pas d’inconvénient à ce que les chrétiens qui souhaitent célébrer le Seigneur dans le rite extraordinaire puissent le faire… à condition que ce ne soit pas au détriment des chrétiens qui trouvent leur joie à le célebrer dans le rite ordinaire. Avoir une messe dominicale chaque semaine devient un luxe dans les zones rurales. Les contraintes (rareté des célébrations ou kilomètres à parcourir) doivent être les mêmes pour tous.

  2. Hervé Soulié dit :

    Effectivement, l’ouverture demandée par Benoît XVI en 2007 n’a été suivie que de peu d’effet, encore qu’il y ait quelques progrès ici et là.
    Le respecté pape Benoît XVI aurait dû être plus net dans sa demande, par exemple en exigeant de chaque évêque qu’il mette en œuvre dans sa cathédrale au moins un office dominical dans la forme extraordinaire.
    En attendant, il faut que les fidèles de la “Messe de toujours” ne relâche pas la pression, et en particulier qu’ils conditionnent leur denier de l’Église à une avancée ou à une posture d’ouverture sur ce point précis.
    Les diocèses ont besoin d’argent, le nombre de pratiquants réguliers s’effondre et les donateurs du denier sont pour la majorité des pratiquants âgés.
    Nul doute que pour ces mauvais évêques (ce n’est pas le cas de tous heureusement !) qui s’obstinent dans leur rejet mesquin des catholiques traditionalistes, ils seront sensibles à l’odeur de l’argent, dont ils ont besoin et qu’ils chérissent subliminalement….

  3. don quijote dit :

    @ Bruno Anel “à condition que ce ne soit pas au détriment des chrétiens qui trouvent leur joie à célébrer dans le rite ordinaire”, nous dites-vous. Je rêve, venez dans le diocèse de Rodez et vous verrez que vous déchanterez rapidement en voyant le cirque de ces messes ou plutôt pseudo-messes où à certains endroits, des prêtres font n’importe quoi jusqu’à changer les paroles de la Consécration.Et s’il n’y a pas de prêtres, la faute à qui? Il faut voir les choses en face: les communautés dites tradi font le plein de leurs séminaires alors que les évêques n’ont pas grand monde dans leurs séminaires sauf les évêques qui acceptent la tradition, c’est curieux non? “Les contraintes doivent être les mêmes pour tous” dites-vous encore mais savez-vous que la plupart des gens qui veulent une Messe dans le rite extraordinaire ( en fait le rite ordinaire car c’est la Messe de toujours alors que l’autre c’est plutôt le rite moderne qui est extraordinaire, mais bon nous n’allons pas épiloguer là-dessus) font chaque dimanche des dizaines de kilomètres pour cela? Et en plus certains évêques leur pourrissent la vie parce que l’idéologie prime avant tout, ils devraient lire les bouquins du Cardinal Sarah