Question de la semaine…

Nicolas Senèze fait une fixation sur la dentelle

Commentaires (12)
  1. jejomau dit :

    Moi, je me demande pourquoi il fait une telle fixation sur la dentelle… C’est curieux quand même…

  2. Arnold dit :

    Oui, Jejomau, vous avez raison, la fixette de Nicolas Senèze est malsaine ! Car ses arguments psychologiques se retournent et un bon analyste nous dirait certainement que c’est en réalité Senèze qui fait l’objet de quelques troubles comportementaux et d’un déséquilibre affectif…

  3. Kris Vancauwenberghe dit :

    Homosexuel ou non, M. Senèze donne l’impression d’être un fameux refoulé, et ce n’est pas neuf. C’est un personnage hargneux et d’une partialité assez écoeurante. Cet exemple le démontre simplement un peu plus clairement que le reste. Qu’il assume à présent les conséquences de ses propos, au lieu de se débiner (serait-ce d’ailleurs une forme de refoulement?).

  4. ema dit :

    Les protestants (voire même les jansénistes) lançaient leurs critiques sur Rome, “la nouvelle Ninive”, le Pape idolâtré par des fidèles “adorateurs d’images qui s’agenouillaient devant des morceaux de pain”.
    Depuis 40 ans par un oecuménisme mal compris, l’on a voulu transformer l’Eglise romaine pour la mettre la plus ressemblante possible à ces concepts de la Réforme, en la dépouillant de toute la beauté des cérémonies et des édifices, voire même en oubliant de parler de certains dogmes de peur de fâcher…

    Qu’un journaliste d’un journal aussi peu romain que la Croix s’étouffe de rage en voyant un prélat avec un décorum qui remet le catholicisme vraiment très loin d’une religion universelle correspondant à “sa” vision de “sa” religion, ce n’est pas bien (surtout quand on travaille dans un journal dit catholique) mais bon, l’on peut admettre qu’il s’exprime à titre personnel sur facebook avec ses amis.

    Par contre qu’il se permette de faire des réflexions sur des prétendus homosexuels refoulés, c’est de la calomnie. Cela montre un esprit tordu et méchant. Ou bien alors c’est du niveau de la blague parisienne perfide et idiote pour se faire bien voir des gens qui lui ressemblent, le bon mot du petit marquis courtisan de salon, pendant que les soldats du Christ sont sur le terrain de la ré-évangélisation de l’Europe apostate, déchristianisée, déboussolée, perdue, qui a vraiment besoin de l’aide des Serviteurs de Dieu, de prêtres et évêques courageux qui guident et protègent leurs troupeaux, en proclamant haut et fort la parole de Dieu et en condamnant ce qui est condamnable. Or comme par hasard ils sont souvent bien reconnaissables avec leurs soutanes et leurs ornements considérés par certains d’un autre âge. Ne serait-ce pas aussi pour cela qu’ils sont attaqués? Tous les moyens sont bons y compris de telles insinuations.

  5. François H dit :

    Cet article me paraît excellent.
    “Techniques maurrassiennes”… Qu’entend exactement par-là Monsieur Senèze ? Cette invocation systématique de Maurras pour disqualifier d’emblée tout ce qui touche de près ou de loin aux “traditionalistes” a quelque chose de lassant.
    Je ne sais pas ce qu’il en est pour d’autres, mais je n’ai jamais lu Maurras (à part quelques poésies, mais cela ne compte pas). Il serait agréable qu’un jour on aille un peu plus loin qu’une condamnation de 1926 (en plus levée en 1939).
    L’offense va plus loin que le Cardinal Burke ou les Franciscains de l’Immaculée : elle touche en général les prêtres issus des séminaires “tradis” avec leur “(im)maturité”.
    Peut-être M. Senèze ne pensait-il pas ce qu’il écrivait ; il est facile de se laisser emporter, surtout sur internet. Mais dans l’état, ce qu’il a écrit me paraît très difficilement défendable.

  6. senex dit :

    C’est “dégoliasse”… J’ai eu le privilège d’assister à l’entrée d’un Cardinal “en grande tenue” dans la cathédrale de Chartres,au chant d’un Credo inoubliable de foi venue des “entrailles” par une foule de pélerins transportés d’une ferveur quasi céleste,au bord des larmes de joie et de respect,c’était vraiment un avant gout du Royaume, car ce cardinal avait un port princier.C’était dans les années cinquante, avant la “révolution”…!

  7. Mingdi dit :

    Ce pauvre Senèze, dont l’inculture, religieuse notamment, saute aux yeux, a dû confondre avec les anglicans “smells and bells” dont l’homosexualité est souvent revendiquée. C’est un signe qu’il s’en prenne brusquement aux franciscains de l’Immaculée qui font un mouvement rapide vers la Tradition intégrale. Pourquoi pas Gricigliano ou Papa Stronsay qui, eux aussi, sont très “capes et dentelles”?

  8. Roger dit :

    Ce monsieur aurait dû voir la messe de ce matin (1/1, Ste Marie Mère de Dieu) au Vatican : tous les concélébrants à la messe papale portaient des chasubles violons et des aubes à dentelles. Il en aurait avalé sa “Croix” ! 😉

  9. senex dit :

    Revenons à cette question de dentelles.
    Le port de vètements ornés de dentelles a été de tous temps en toutes civilisations ,non un signe d’homosexualité, mais un signe de pouvoir,de richesse,d’honneur,et de tradition perpétuée.Dans les familles de tradition on conservait avec vénération les robes de baptème et les voiles de mariées,les coiffes et les uniformes brodés des ancêtres ;dans le clergé c’était un signe de hiérarchie comme les galons des officiers.La dentelle est un art très ancien et vénérable et de plus chaque province avait son point particulier et ses techniques et traditions bien spécifiques.Le surplis des prêtres est un habit de cour qui nous parle du Royaume,comme l’or des vases sacrés.Tout ce ci n’a rien à voir avec un fétichisme malsain.Honni soit qui mal y pense…!

  10. dubois dit :

    il a peut-être était traumatiser par la dentelles? dans son enfance.

  11. lebeau dit :

    le journaliste de la Croix ne doit pas aimer la
    beauté et je le plains.Au lieu de s’occuper
    des questions religieuses, le journal devrait le cantonner à la rubrique des faits divers.Cela ne m’incite guère à m’abonner à ce journal

  12. Michèle dit :

    Si monsieur Sénèze est en charge des questions religieuses dans le torchon gallicano-gauchiste qui ose s’intituler La Croix, c’est bien en raison ( et non en dépit) de son hostilité haineuse envers les traditionalistes, garantie d’appartenance au “catholiquement correct”.
    Pour le reste, je propose que nous lui cherchions un psychothérapeute spécialisé dans la “dentellophobie”: il faut aider son prochain, que diable!