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Burke, Brandmüller : « Où va l’Église » ?

Commentaires (19)
  1. allegrovivace dit :

    “Rome a perdu la Foi” : ce n’est pas nouveau. C’est le reniement de Pierre d’aujourd’hui. Il ne faut pas douter que Pierre reviendra au Christ.
    Deux cardinaux, c’est un début.

    S.Exc. Mgr Marcel Lefèvre était un précurseur, suivi ensuite par la FSSP, l’Abbé Wach, l’Abbé Laguérie, Fongombault , le Barroux, etc…
    il ne manque plus que le Sacré-Collège les rattrape lors du futur conclave. Ou alors, le diable aura encore partie gagnée, pour le temps que les braises se refroidissent !?

  2. Hervé Soulié dit :

    Courageux et lucide.
    Je me réjouirais de savoir l’un ou l’autre sur la chaire de Saint-Pierre.
    Puisse Notre-Seigneur nous entendre.

    1. Jean Rascol dit :

      …et que Dieu nous en garde !

      1. Joël dit :

        Jean Rascol, alias Bruno Anel, préférerait une élection du cardinal Tagle, nous avons bien compris

  3. Degive dit :

    Les problèmes dont les 2 Éminences parlent se situent aujourd’hui bien sûr, mais aussi dans le passé, même lointain. Leur avis s’étale-t-il dans le temps des autres responsables de l’Eglise? Ou bien est-ce le climat actuel qui les pousse à sortir du bois aujourd’hui … Pauvre Église qui s’étale ainsi dans tous les réseaux sociaux… au nom de qui?

  4. LARREUR Mariette dit :

    C’est étrange, on ne parle que de l’église Catholique ! Comme s’il n’y avaient qu’eux. On oublie que même dans la fonction publique, il y a eu des abus !

  5. BOMMIER Claire dit :

    Deux évêques! C’est un bon début! L’Eglise a traversé des crises aussi graves, et s’en est souvent sortie parce que un seul évêque osait résister. Dans tout le pays. St Hilaire de Poitiers pas ex.
    L’épreuve de la foi qui nous est donnée ici, n’est pas tant une épreuve de la foi qu’une épreuve de charité. A savoir que ce qui manque c’est l’acceptation de tout pour l’amour de Dieu.
    St Paul nous le rappelle. Quand il dit “j’aurais bon avoir la foi à transporter les montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis qu’une cymbale retentissante”. Il s’agit de l’amour de Dieu. Bien sûr. A quoi bon croire si ce n’est pas pour aimer plus et mieux Dieu? Qu’est-ce qui nous fait chuter dans la foi, renoncer à ses dogmes, contester les commandements de l’Eglise? c’est plus le manque de charité vraie, l’amour de Dieu que le perfectionnement de sa foi. La foi seule peut être indémolissable, mais elle n’est alors pas transmissible.
    Ce qui compte c’est de voir que l’Eglise a bien souvent perdu l’amour de Dieu, pour s’attarder à l’amour des hommes. Mais toute cette épreuve vécue avec l’homosexualité, la pédophile etc… ne fait que rendre l’évidence que ce n’est pas l’amour des hommes qui nous sauvera. Mais l’amour du seul homme qui peut recevoir l’absolu de notre amour et peut nous donner l’absolu du sien. C’est l’amour du Christ.
    L’Eglise a abandonné sa foi parce qu’elle a abandonné l’exigence d’amour divin.
    Je prie pour que ces évêques si minoritaires soient éclatants de cet amour divin, afin qu’ils entraînent derrière eux tous ceux qui se réveilleront de ce mauvais cauchemar que l’on fait aujourd’hui.
    Je prie aussi et j’agis pour faire reconnaître à nos contemporains que tous ces scandales licencieux autour du sexe – qui n’a plus de licence dans la société civile, aujourd’hui- , arrivent “fortuitement” avec les projets d’explosion de la structure familiale. Curieux, non??????

  6. copyright dit :

    Merci à ces 2 cardinaux courageux et fidèles au Christ.
    Que Dieu les entende et que l’Esprit Saint réveille son Eglise.

  7. Eve dit :

    Soutenons ces Cardinaux qui ont la Foi !
    Qui peut m’aider à lancer une pétition de soutien et de manifestation de notre
    Foi ?

  8. Hahn26 dit :

    Bonjour

    Je suis d’accord avec Hervé Soulié : Burke fera un excellent pape, Brandmüller est trop âgé malheureusement.

    Mais je crains que ce scénario ne se réalisera jamais étant donné ces créations cardinalices étonnantes voire déroutantes…. le Sacré Collège est transformé en une assemblée bergoglienne, où les vrais Hommes de l’Eglise font défaut, sans culture, sans science, sans théologie.

    Les meilleurs ne sont plus dans le Sacré Collège….

    Quo vadis?

    1. Jean Rascol dit :

      Que Dieu nous garde du cardinal Burke.

      1. Joël dit :

        Qu’il nous garde surtout d’un futur pontificat progressiste supplémentaire.
        Si les gens ne supportent plus la doctrine, ils n’ont qu’à se casser chez les protestants.
        L’ Église n’est pas l’ URSS, on ne va pas tirer sur les gens car ils s’en vont

  9. Quand il n’y a plus de dogme, de foi ni de credo, quand il n’y a plus de ciel, plus rien à espérer que ce qu’offre ce monde, quand il n’y a plus de Dieu et que seul reste l’homme, la morale s’effiloche, les moeurs se dissolvent dans le gouffre du monde.
    Adresse site internet: jpsnyers.blogspot.com

  10. Gwendal dit :

    Cette culture homosexualiste parmi les princes de l’Eglise est mortifère. Il n’est pas étonnant qu’elle soit dénoncée par un homosexuel notoire (je lui fait crédit de son abstinence) en la personne du cardinal Burke. Au fond, ce contre quoi nous combattons dans la vie mondaine, ce sont toujours nos propres démons que nous combattons intérieurement. Le danger nihiliste (ou relativiste diraient les ratzingeriens) serait de cesser de combattre tant en soi même que dans l’Eglise de ce monde. Ce qui me conduit à imaginer voire à espérer que Raymond Burke a pleinement conscience de son homosexualité.

    1. Joël dit :

      Je trouve un peu léger de prétendre que le cardinal Burke serait homosexuel..
      Le goût pour la capa magna et la dentelle n’est pas un indicateur suffisant à mon avis….c’est même très simpliste comme argument !

      1. Gwendal dit :

        Joël, ai-je invoqué son goût pour la capa magna ? Ta lecture est très simpliste voire simplette… qui se sent morveux se mouche !

    2. Justine dit :

      @Gwen. S’il a refusé vos avances, ce n’est pas la peine de vous fâcher et de l’accuser.

  11. Michel dit :

    Dans le texte : On accuse le cléricalisme d’être responsable des abus sexuels, mais la première et principale responsabilité du clergé n’est pas dans l’abus de pouvoir, mais dans le fait de s’être éloigné de la vérité de l’Évangile.

    Malheureusement, il y a eu aussi abus de pouvoir, mais l’omerta des évêques nuit à la bonne évangélisation et ils optent pour le modernisme qui affaiblit de jour en jour toute l’Église. C’est comme donner la communion à tous lors des funérailles et même pour les personnes de même sexe dans une église… On nous offre différentes Bibles en des termes labiles…

    J’ai toujours défendu Vatican II et aujourd’hui, je suis devenu assez froid quand je relis l’Évangile avant Vatican II et malgré certaines notions du catéchiste…