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Le diocèse de Dijon répond à la Fraternité Saint-Pierre et aux fidèles

Commentaires (8)
  1. Courivaud dit :

    La conclusion de votre commentaire est fausse. En réalité, à partir du moment où les traditionnels “ralliés” ont dû bon gré mal gré se rattacher aux organes et institutions de l’Eglise conciliaire, ils devaient/ils doivent s’attendre à des contraintes liturgiques, in fine théologiques, qui les obligent à accepter “le Concile Vatican II” comme un bloc et à perdre ainsi leur âme.
    De ce point de vue, il suffit de lire l’interview de Mgr Vigano’, réalisée par “Res novae”, dont le texte a été retranscrit par “Res novae” du présent mois.

    Mais il est vrai aussi, et cela devrait être de “bonne administration” qu’avant de prendre une décision de “suspension” aussi grave à l’égard d’une communauté religieuse quelle qu’elle soit, il conviendrait que l’institution, diocésaine ici, lui adresse un avis motivé de griefs permettant à ladite communauté de présenter sa défense : lorsque l’on prétend “aimer les droits de l’homme” comme l’ont tant proclamé les évêques à la suite des papes conciliaires (“saint”‘ Jean Pau II en particulier ; cf. son allocution au Conseil de l’Europe donnée à l’automne 1988), c’est comme cela que l’on devrait agir, EN PREALABLE, donc, avant toute décision aussi engageante. Cette obligation de consulter au préalable s’appelle le “respect des droits de la défense”.
    Ah ! le droit “vu” par nos prélats…..

  2. Pierre Mary de Montamat dit :

    Bien d’accord avec Courivaud, je suis moi aussi Vigano ! il me semble qu’il ne faut rien attendre de cette ‘institution’ !!!

    Et demander un minimum de respect envers ses subordonnées de la part d’un hiérarque me semble e*être de mise dans l’Eglise, vous avez raison, cher Courivaud ! Je dis bien dans l’Eglise !

    Il y a bien conflit ‘nous sommes en guerre’ , et peu à peu, ceux qui veulent à tous prix rester dans l’institution actuelle vont se retrouver exchristianisés !!!

  3. Pierre Mary de Montamat dit :

    De fait, l’affaire est similaire avec ce qui s’est passé dans le Cantal, pour la conclusion: mise à la porte !

    Mais dans le Cantal, le prêtre de l’ICRSP avait non seulement voulu mettre en place sa propre pastorale, mais il avait débordé sur une paroisse voisine en donnant des coups de mains au curé bienveillant qui l’accueillait bien volontiers!

    Ca ne devenait effectivement plus du tout tolérable !!!

  4. Zum dit :

    Très surpris des commentaires…

    À les lire je me demande si certains ne crouyent pas que l’esprit Saint a abandonné l’église, si l’infaibilité papale ne devrait pas être remise en question…

    Oui cet Évêque a prit une décision sûrement trop radicale, mais se mettre en opposition quitte à remettre en doute la Christianité de certain ça m’interpelle.

    C’est à se demander si certains savent qu’avant le rite tridentin il existait d’autres rites…
    Il peut en exister des différents, le rite peut évolué, il a évolué, la messe sous la forme extraordinaire est le fruit de nombreuses évolution. Cette gué guerre que certains créent sur ces formes de rite est assez incroyable

  5. Je conseille à tous ceux pour qui la messe de Saint Pie V est la vraie messe catholique de lire la réponse du R.P. Calmel à Paul VI de triste mémoire. À la démagogie de Paul VI le dominicain oppose la dignité du sacerdoce en affirmant de façon solennelle que la messe de Saint Pie V était celle de son ordination alors que celle que Paul VI essayait d’imposer aux fidèles était sa fabrication. Le NOm est mauvais puisqu’il est l’émanation d’une façon de penser peu catholique

  6. fg dit :

    La plupart des prêtres ne veulent pas entendre parler du rit traditionnel, et envoient au diable les fidèles qui le réclament (c’est un rit quand même millénaire, bien antérieur au concile de Trente qui y a seulement apporté quelques modifications).
    Le concile Vatican II ne remet pas en question ce rit qui reste le rit ordinaire: le nouvel ordo a été imposé par la force et par un processus révolutionnaire, l’ancien ordo est devenu alors “forme extraordinaire”.
    Ce n’est pas l’infaillibilité du pape qui est ici questionnée, mais la mauvaise foi (un comble pour un évêque) qui inverse les rôles: des fidèles sont expulsés, voilà les faits.
    Et la désaffection aux messes et dans les séminaires ne semblent pas préoccuper les ayatollahs de l’ordre nouveau.

  7. M. Jean-Paul Benoist dit :

    Mes chers Amis,

    Me voici obligé de citer une parole de Notre Seigneur Jésus-Christ:

    “Quel accord entre le Christ et Bélial?”

    J’en suis bien désolé, croyez-le bien, mais arrive un moment o^se bouchers les yeux devient de la complicité!

    Très humblement vôtre,

    Le pauvre pécheur que je sais être.

    Il y a quand même une solution, la seule, Fatima: le Saint Rosaire à outrance!