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Motu Proprio: Des restrictions annoncées aussi dans l’archidiocèse de Washington DC

Commentaires (3)
  1. Jack dit :

    Le Cdl Grégory est tout à fait dans “la ligne du parti” du Pape François: Quand Mme Pelosi, présidente de la Chambre des Représentants, vient siéger à Washington, elle vient assister à la messe dominicale dans son diocèse, où elle reçoit de façon sacrilège la Sainte Communion malgré les prohibitions qui lui ont été clairement et publiquement signifiée par Mgr Cordileone l’archevêque de San Francisco, son lieu de résidence.
    Rappelons que, canoniquement, une telle interdiction de la SainteTable signifiée dans les règles par un évêque à un fidèle catholique, doit être appliquée dans tous les diocèses du monde entier, y compris celui de Rome. Le Pape lui même ne peut PAS s’y opposer.

  2. Jack dit :

    Extrait de la Bulle “Quo Primum Tempore” instaurant la Sainte Messe Tridentine. Cette bulle donnée le 14 juillet 1570 et valable à perpétuité, n’a jamais été annulée, si seulement elle pouvait l’être, par les successeurs de saint Pie V, y compris le Ppe François:
    …/…Nous avons décidé et déclarons que les supérieurs, administrateurs, chapelains et autres prêtres de quelque nom qu’ils seront désignés, ou les religieux de n’importe quel ordre, ne peuvent être tenus de célébrer la messe autrement que nous l’avons fixée, et que JAMAIS ET EN AUCUN TEMPS QUI QUE CE SOIT ne pourra les contraindre et les forcer à laisser ce missel ou à abroger la présente instruction ou la modifier, mais qu’ELLE DEMEURERA TOUJOURS en vigueur et valide…
    Et plus loin:
    “…/…Qu’absolument personne, donc, ne puisse déroger à cette page qui exprime Notre permission, Notre décision, Notre ordonnance, Notre commandement, Notre précepte, Notre concession, Notre indult, Notre déclaration, Notre décret et Notre interdiction, ou n’ose témérairement aller à l’encontre de ses dispositions. Si cependant quelqu’un se permettait une telle altération, qu’il sache qu’il encourrait l’indignation de Dieu tout-puissant et de ses bienheureux apôtres Pierre et Paul.”

    L’interdiction de la Messe Tridentine par le motu proprio “Traditionis Custodes” est donc manifestement un abus caractérisé du pouvoir pontifical.