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Luçon : l’évêché vend la maison de retraite du Martinet pour abonder le fonds SELAM

Commentaires (4)
  1. Patrick BUISINE dit :

    Nos évêques font preuve réservent manifestement leur piété à l’exécution des oukases de la commission SAUVE !
    ils respectent donc scrupuleusement l’injonction qui leur a été faite re ne pas faire appel aux fidèles pour financer l’indemnisation des victimes, po mais méprise allègrement la volonté de tous les donateurs du passé qui n’avaient certainement pas imaginé que les fruits de leur générosité puissent être affectés à la réparation des dommages causés par des prêtres dévoyés.
    Par contre il ne semble pas que ces prêtres félons aient été appelé à participer, en tant qu’auteurs, à la réparation des préjudices qu’ils ont engendrés !!!

    1. Rédaction Riposte Catholique dit :

      A Quimper, si.
      Et dans quelques autres diocèses

  2. Père Gruber dit :

    Ne s’agit-il pas d’un détournement d’héritage? La même chose a été effectué à Dax: un presbytère légué dans les années 1935 uniquement pour devenir presbytère (avec la clause de retour à la famille si n’est plus presbytère: acte lu devant moi par le Curé), a été cédé à la commune pour y faire des appartements. Et la maison de retraite pour les vieux prêtres a été aussi fermée… et transformée par miracle (là on avait l’argent) pour des logements intergénérationnels. Qui arrêtera les évêques qui ne sont pas propriétaires de ces batiments, seulement “administrateurs” de l’Association diocésaine: la notion de vol et le 7e commandement de Dieu n’existent-ils plus sous le Pape François? J’aimerais que les laics se constituent en association et portent plainte contre les évêques indélicats. A fortiori pour abonder un fonds dont chacun sait le caractère flou et déshonnête… D’où la chute du denier.

  3. Pitoune dit :

    En faisant ainsi l’Eglise se rend doublement coupable.
    D’une part en s’avouant solidaire et donc complice des véritables coupables. Ce qui fait qu’elle n’a plus le droit de les absoudre.
    L’absolution du complice étant invalide et c’est ce qui est le plus grave.
    D’autre part en détournant des biens en dehors de l’objet des donateurs.
    Seules des contributions personnelles d’évêques qui se sentiraient coupables d’une manière ou d’une autre devraient être autorisées.
    En droit privé, cela s’appelle un abus de bien social.