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Êtes-vous « gender fluid » ? Les drôles de réunion des salésiens

Commentaires (6)
  1. TD dit :

    Ces religieux modernistes qui bafouent la loi de Dieu sont sur le chemin de la damnation.
    Quand on sait que le péché impur contre nature est un péché qui crie vengeance devant Dieu on voit le jugement qui attend ces abominables religieux.

  2. Bernard dit :

    Ils n’ont rien de plus spirituel à proposer comme formation?

  3. steeven dit :

    moi je suis un catho fluid !!!!! MDR du grand n importe quoi…..

  4. Efage dit :

    Et bergogo veut nous obliger à épouser son modernisme ?
    Qu’il aille au diable . . .

  5. Horovitz dit :

    Quand le sel devient fade il ne sert plus à rien qu’a être foulé au pied!

  6. Arome dit :

    Bonjour TD, bonjour Efage,

    A la Sallette, la Vierge a dit : “si vous ne vous convertissez pas… il ne sera plus possible d’éduquer les enfants à la pureté”. Elle n’a pas dit “si vous cédez au modernisme”, elle n’a pas dit “si vous acceptez les prochains conciles” (dans ma région, il y a encore des gens qui refusent Vatican 1…).

    Continuez à dénoncer le modernisme à chacun de vos tweets, je vous répondrai à chaque fois que c’est un mauvais diagnostic, bien commode pour se dédouaner. L’enjeu n’est pas de faire de al foi un fixisme, l’enjeu c’est d’être parfait comme notre Père du Ciel est parfait. La Vierge parle de conversion en 1846, soit envrion 120 ans avant Vatican II, environ 60 ans avant le premier modernisme. Comment faut-il vous le dire : LE-MODERNISME-N-EST-PAS-LE-PROBLEME. Le Modernisme est une manifestation du problème.

    Le problème, c’est la conversion, le remède c’est de vivre en présence de Dieu et de l’adorer à chaque instant, en dégageant son âme par la confession, en la nourrissant par l’adoration eucharistique et la communion fréquente, en la libérant par la pénitence et les mortifications ? Le faites-vous ? Je suis prêt à parier que non : c’est tellement plus commode de dénoncer “le modernisme”, “Bergoglio”. Certaines fraternités entretiennent leurs victimes dans l’idée que pour être saint, il faut et il suffit d’aller à la messe en latin (chez eux, hein, pas à la concurrence) et de vomir “le modernisme” et Bergoglio”; à côté de ça, on peut être un sépulcre blanchi et puant, aucune importance, on ira au Ciel. C’est faux.

    Une dernière fois : nous ne serons pas jugés sur le rejet du modernisme, mais sur l’amour de Dieu et du prochain, ce qu’on appelle la conversion. Et tout le reste sera donné par surcroit, même la fin du modernisme (dont vous ne me ferez jamais dire du bien). Mais faire du modernisme et de “Bergoglio” les ennemis n°1, c’est être objectivement le complice du démon. Même si vos conseillers religieux ne vous y encouragent pas, réflechissez par vous-mêmes un peu, vous verrez, ça fait du bien. Si vous avez raison, la Vierge n’avait aucune raison d’apparaître à la Sallette en 1846, aucune raison d’apparaâitre à Pellevoisin en 1865 : le modernisme n’existait pas, et “Bergoglio” non plus. Saint cohérence, priez pour nous.