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Betoncourt-sur-Mance (70) : la mairie veut vendre l’église pour rénover le réseau d’eau

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Dimanche de Pentecôte
Commentaires (3)
  1. karr dit :

    Sans son église ce village perdra son âme ,il s’agit d’un héritage commun à conserver ,c’est à travers toute la France que des églises se trouvent menacées,lorsqu’elles ne sont pas déjà détruites ou transformées en habitations particulières .
    Dans le cas présent le diocèse semble tenir bon pour le moment ,une chance,mais cela durera t-il ?

  2. gaudete dit :

    Une bonne fois pour toutes il va falloir faire comprendre à ces têtes de pioches que si l’état avait été honnête il n’aurait pas spolié l’église la mairesse en question n’aurait pas à se soucier de l’entretien de l’église.

    D’autre part ne s’appelle pas Poutine qui veut sur lequel les me#dias patentés dégoisent à longueur de journée et les veaux dans leurs fauteuils gobent leurs élucubrations, lui il rend ses biens à l’église. Ça ne viendrait pas à l’idée du fanfaron de l’Elysée d’en faire autant.

    1. Rédaction Riposte Catholique dit :

      l’Eglise serait elle capable d’entretenir ses biens ? Au vu de la gabegie et des ventes incessantes dans les diocèses qui disposent encore d’un patrimoine immobilier important (Paris, Rodez, Arras, Vannes pour ne prendre que quelques uns) on pourrait en douter.

      Pour le versant entretien courant, l’on peut voir ce qui s’est passé avec la cathédrale de Nantes, dont le diocèse a filé les clés littéralement à n’importe qui – Illustre inconnu qui en plus de l’avoir incendiée, a tué un prêtre un an plus tard.
      Et aujourd’hui le diocèse est très content d’avoir trouvé l’État (et le contribuable) pour reconstruire ce qui a été perdu exclusivement par sa faute (les pompiers étant sur place avec la grande échelle et les tuyaux déployés exactement 12 minutes après le premier appel de riverain, ont sauvé le reste du bâtiment et ont empêché le feu de se propager).
      Il s’est avéré bien après – une enquête de Paix Liturgique s’y est intéressée – que dans ce diocèse qui n’avait plus de titulaire depuis des mois d’autres paroisses avaient elles aussi filé les clés des églises à des clandestins. Cette pratique serait aussi révolue – et là encore, ce n’est pas le religieux qui a sifflé la fin de la récréation, mais ceux qui paient.