Jeanne Smits

Don d’organes et mort cérébrale : suite et fin de l’interview de Paul Byrne

Commentaire (1)
  1. C.B. dit :

    “il n’est pas moralement admissible de provoquer la mutilation handicapante ou la mort d’une personne humaine même dans le but de retarder la mort d’une autre personne.”
    Serait-ce plus clair si on indiquait un tout petit mot en plus:
    “il n’est pas moralement admissible de provoquer la mutilation handicapante ou la mort d’une tierce personne humaine même dans le but de retarder la mort d’une autre personne.”
    Parce que donner librement sa vie pour en sauver une autre est moralement admissible (cf. Maximilien Kolbe, par exemple).
    En fait, le slogan “mon corps m’appartient” (donc j’en fais ce que je veux) n’a rien de moralement contestable, ce qui l’est c’est de disposer du corps d’autrui, que que soit le prétexte.