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Béatitudes : un ex-prêtre mis en cause pour abus sexuels au Congo

Commentaires (3)
  1. Jacques Fauchille dit :

    Ns en sommes au sordide !!! Et une ” pénétration” …et une !!! 10.000€…..la fellation !!!??? Combien.
    Je crois rêver de lire çà et de la part d’une institution complètement à la dérive, qui a perdue et le bon sens, le droit, la vertu, l’humilité. Comme si massacrer la conscience, la vie ,d’un jeune avait une compensation financière, comme si cela allait gommer ou effacer toute trace du crime.
    Mais, la doctrine qui a produit de tels fruits d’impuretés, la doctrine sur le corps et la sexualité, la formation perverse des futurs prêtres et religieux, elle ne change pas , elle n’est pas même remis en cause. Car, là est le vrai problème. Et depuis des siècles….” qui fait l’ange fait la bête ” .

  2. Pascal Gentil dit :

    La province de Luxembourg et celle de Namur forment le territoire du diocèse de Namur. Il était donc en fonction dans son diocèse. Et même si son passé le rattrappe maintenant, il était apprécié dans ses paroisses belges. Les gens connaissent rarement le passé de leur curé. Si on avait su …

  3. Gaud dit :

    Si un être humain est susceptible de recevoir salut, pardon et miséricorde, c’est bien parce qu’il est misérable, et aussi faible et conduit souvent par un autre esprit que Celui de Dieu. Sinon, Jésus ne serait pas Sauveur.
    Alors, sans nier la gravité des faits, ne faisons pas de cet homme un diable, qui lui n’a aucune excuse, et aucun repentir ni aucun pardon à attendre.
    Qu’il ait gravement manqué à ses engagements n’empêche en rien qu’il ait pu aussi de faire du bien.
    De même la personne victime de ces actes par le passé reste elle aussi un pécheur, qui a désormais à porter cette croix du mal moral commis par des humains à la suite de tant et tant, après Jésus Lui-même. Ce qu’elle a subi ne fait pas d’elle un saint, et reste simultanément sujet de compassion, car ce mal moral où la responsabilité humaine entre en jeu est une des souffrances les plus difficiles à porter…

    À lire certains on croirait presque que nous ignorons la pauvre condition humaine qui n’est pas simplement de « commettre des péchés » mais « d’être pécheur ». Autrement dit nul ne peut se prévaloir de justice et charité, sinon Marie. Or, en ce domaine des douleurs morales, elle en « connaît » d’expérience un rayon!!

    Au moins les accusateurs de la femme adultère, lorsqu’il leur fut demandé que « celui Qui est sans péché lance la première pierre » ont eu l’honnêteté de Paris « les plus vieux en premier » meilleurs connaisseurs de leur état profond de péché…
    Et nous?
    (Ceci bien sûr n’exclut en rien des actes de justice humaine, ecclésiastique comprise, devenant lieux de « confession » et de « réparation« . D’ailleurs ce prêtre a reconnu les faits. Ce qui n’est pas si courant…et manifeste peut-être sa volonté d’assumer )